3 juillet 2011
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C'est la grande question que se pose la FEPAEX depuis pas mal de temps, ne recevant aucune réponse que ce soit des responsables politiques ou municipaux.
On sait que dans la province de Badajoz tous les animaux abandonnés finissent dans les tristes perreras de Santa Amalia et Olivenza mais quid des animaux de la province de Caceres? On sait que trois associations protectrices se chargent des perreras des villes de Caceres, Plasencia et Miajadas mais qu'en est-il pour le reste de la province?
Un article de presse nous donne peut-être la réponse sur la situation de Trujillo:
On peut trouver ainsi ici et là des chiens attachés avec quand même de l'eau et un peu de nourriture et même quelquefois un carton pour leur faire ombre. D'où sortent ces chiens? .... ils était vagabonds, abandonnés et comme il n'y a pas d'installations spécifiques pour recueillir les animaux abandonnés ben on les attache et on attend ..... tout d'abord la visite du Seprona et éventuellement celle d'un vétérinaire pour confirmer que le chien ne représente pas un danger potentiel du point de vue sanitaire. Au bout de quelque temps s'il n'est pas réclamé ou récupéré par quelqu'un, il sera euthanasié.
Il arrive même que le propriétaire d'une résidence canine rende service à la municipalité en hébergeant un chien abandonné contre rémunération, ce sera le cas de ce labrador qui a passé plusieurs jours attaché entre des caissons de bouteilles
Une vidéo est visible sur l'article de presse, il vous suffira de cliquer sur la photo de l'article pour l'activer
C'est ainsi que la FEPAEX a eu des recoupements de témoignages qui laissent à penser que bien d'autres municipalités pratiquent elles aussi le système D en matière d'animaux abandonnés qui seront recueillis ou plutôt "stockés" dans des entrepots, des maisons abandonnés à la périphérie de la ville, des cabines, des espaces de rangements des collectes d'ordures (normal tout le monde sait qu'un chien est un déchet en Espagne) etc ..... autant de solution bancales qui aboutiront le plus rapidement possible à lélimination pure et simple du chien.
Décidément il semble qu'en Extremadura la seule réponse donnée au problème de l'élevage clandestin intensif et la supopulation des animaux abandonnés soit L'INDIFFERENCE TOTALE où chacun fait selon sa conscience, la solution finale (oh le vilain mot qui parle d'un passé peu glorieux) étant la seule qui corresponde réellement au modèle de la province de Badajoz
Published by LN Verdier
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