ou fait semblant de réagir. Ce qui est sûr c'est qu'elle a publié sur son site devoir interrompre temporairement , et c'est bien là que le bas blesse, l'accord initial qu'elle avait avec la Sociedad Protectora de Animales y Plantas de Sevilla, plus connue par une autre dénomination plus adaptée quand on sait ce qui se passe entre ses murs, la perrera de Mairena
http://www.mairenadelaljarafe.es/fuentes/noticia.php?Id=1591
La municipalité, croulant sous les plaintes et dénonces concernant cette perrera, n'a pas pu faire autrement que de prendre cette initiative en espérant que cette interruption momentanée des accords aboutisse à la fermeture de la perrera et à sa réouverture en véritable centre de protection animale gérée par des défenseurs des animaux ..... on peut rêver!
Nouvelle reléguée dans la presse également:
http://www.abcdesevilla.es/20120215/sevilla/sevp-cesa-convenio-protectora-estado-20120215.html
Mairena, un enfer où les animaux sont diarrhéiques au dernier degré, mélangés sans aucune distinction de taille ou de race, vivant dans leur merde, nourris avec des croquettes jetées à l'économie par dessus les grilles, les plus gros chiens bouffant, les autres se réfugiant dans un coin et se laissant crever de faim après la première morsure.
Mairena qui se dit Société de Protection Animale et qui de ce fait perçoit des dons de particuliers et a des adhérents n'est rien d'autre qu'un mouroir de la pire espèce
Les cages des condamnés à mort. C'était le n° 751 : il est mort