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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 17:38
La perrera de Linares, encore une perrera qui ne laisse entrer pratiquement personne, ni bénévoles ni adoptants potentiels. Une perrera qui ne contrôle même pas si les chiens récupérés ont une puce d’identification. Une perrera qui euthanasie les chats à coups de bâtons. En ce lieu, on entre, on meurt et les euthanasies se pratiquent tous les 10 jours et comme il n’y a pas de petits profits, ils sont nourris une fois par semaine. Normal, à quoi ça sert de nourrir des chiens qui, de toute façon, seront euthanasiés sous 10 jours?
A Linares, si vous perdez votre chien, inutile de téléphoner à la perrera pour savoir si toutefois il ne serait pas dans ces murs diaboliques .... la perrera vous répondra tout simplement qu’il n’y est pas et ne vous accordera même pas le droit d’entrer pour le constater par vous mêmes.
Encore une perrera contre laquelle les espagnols se battent depuis ..... des années!
Cela fait des années que cette perrera est dénoncée et deux ans qu'une page lui est consacrée sur facebook pour que tout le monde sache:
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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 21:45

 

 

 

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 21:34
Quelqu’un devra répondre pour les martyres de la “Protectora” de Mairena. Au nom de tous les chiens et chats exterminés sans même avoir eu le temps de porter un nom.
 
Un article écrit par Ruth Toledano, journaliste et poète résidant à Madrid.
 
 
A l’heure même où j’écris cet article, le crématorium est allumé. La fumée qui s’élève au-dessus de la ferme Peralta, où se trouve la “Protectora” de Animales de Mairena del Aljarafe, province de Seville, témoigne du fait que les fours fonctionnent toute la journée. Il s’agit de la perrera contre laquelle, depuis plus d’une dizaine d’années, de nombreuses associations de la véritable protection animale ont déposé des plaintes pour les conditions infernales que sont celles des animaux. La même perrera dans laquelle, ces derniers jours, ont eu cours les protestations à la suite de la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo filmée le 25 décembre dernier et qui montre des images horrifiantes de chiens de toutes les tailles ntassés au milieu des excréments et de l’urine sur lesquels certaines chiennes donnent la tétée à leurs chiots, des chiens avec blessures ouvertes, malades, dénutris à l’extrême et y compris des cadavres. L’unique vétérinaire en contrat avec la “Protectora” était en vacances.
 
N’espérez pas de moi aujourd’hui du politiquement correct. Je réfrènerai juste pour ne pas en arriver dans cet article à l’insulte que méritent les responsables de cette “Protectora” d’animaux et que méritent aussi tous les responsables institutionnels concernant cette horreur. Ceux qui durant plus de dix ans l’ont permis sans tenir aucun cas des plaintes. Ni les respnsables de la “Protectora”, ni les responsables municipaux, ni les responsables politiques régionaux d’Andalousie, ni le Seprona, ni les responsables de l’Environnement n’ont tenu compte de des plaintes réitérées et dramatiques. Ni même la société en général n’a tenu compte de la clameur des personnes sensibilisées, agressées par une situation qui a fait connaitre la “Protectora” d’Animaux de Mairena comme l’Auschwitz espagnol des animaux (l’écrivain juif Isaac Bashevis Singer, prix Nobel de la Littérature qui a du fuir l’extermination nazi, nous a averti: “Par notre comportement envers les animaux, nous autres  êtres humains sommes nazis. Pour les animaux c’est un éternel Treblinka”).
 
Qui sont les responsables de ce qui se passe à Mairena? En premier, Pedro Luiz Fernandez Castillo, président de la “Protectora”. Ce type qui, en tant que vétérinaire, est capable de dispenser n tel traitement aux animaux, dirige cette perrera privée en contrat pour l’accueil des animaux abandonnés avec bon nombre de municipalités de la région de Aljarafe, ainsi que quelques autres de la région de Huelva et de Cadiz. Il la dirige avec une telle opacité qu’on ne peut même pas savoir combien sont les municipalités mais il semblerait plus de onze selon diverses sources. Chacune de ces municipalités paient un tribu approximatif de 9000 euros par an. Peu importe la couleur politique des municipalités, il y en a et il y en a eu du PP ou du PSOE, tous complices de la (présumée – comme vous voyez je me vois obligée d’utiliser ce mot mais les parenthèses personne ne me les enlèvera) maltraitance et l’extermination pratiquée par Mairena.
 
En 2012 les municipalités de Bormujos et de Mairena ont rompu le contrat en raison des plaintes reçues. Mais Pedro Luis Fernandez Castillo rétorqua par un communiqué qu’il les accusait de diffamation et menaça même de procédures judiciaires. Ce même vétérinaire doit avoir beaucoup d’influence pour que ces deux municipalités reviennent sur leur décision et recontractent avec lui (en dehors du fait qu’il n’y ait d’autre centre d’accueil des animaux ,ce qui en soit relève de la responsabilité institutionnelle). Très influent le monsieur pour déposer une plainte contre une adhérente qui avait filmé en caméra cachée les horreurs de la perrera et à qui il réclame 200.000 euros d’indemnisation (le jugement devrait avoir lieu en 2014). Très influent pour être arrivé à se maintenir durant 15 ans à la présidence d’une ‘'”Protectora” dont les autorités politiques onterdisent l’accès des statuts aux adhérents, qui ne présente aucun registre et aucune trésorerie, qui ne respecte pas l’obligation d’une assemblée générale annuelle pour ces mêmes adhérents et qui ne présentent aucun frais. On ne sait même pas de combien d’adhérents dispose la “Protectora” puisque là non plus on ne donne pas accès à ses bases de données. Des adhérents qui versent leurs contributions.
 
Le Ministère de l’Intérieur devrait enquêter sur ces irrégularités concernant les adhérents et qui salissent en plus l’image de tant d’autres protectoras qui laissent leur peau dans leur ingrate et nécessaire tache d’aide aux animaux abandonnés. Et l’Assemblée d’Andalousie devrait prendre note concernant cette affaire sanglante et enquêter sur ce lieu qui a été l’objet de tant de plaintes déposées depuis tant de temps. Pourquoi ne le font-ils pas? C’est bizarre. Si la transparence en matière de gestion de cette perrera de Mairena est nulle, nombreux sont les soupçons qui l’entourent: la (présumée) relation intime de Fernandez Castillo avec les hautes autorités politiques et celles de la Guardia Civil, également sa (présumée) relation avec les arènes de taureaux de la Real Maestranza de Seville, sa (présumée) connivence avec le Seprona lui-même qui se présente à la perrera (soit disant sans avertir) chaque 4 ou 6 mois et qui, comme par hasard, ne constate aucune irrégularité grave si ce n’est de petites infractions. Le jour du rassemblement, bien sûr, ils n’ont pas pu faire autrement que d’imposer trois sanctions: une administrative et deux de caractère sanitaire.
 
Mais ce ne sont pas les seuls responsables. La société espagnole en général et la société andalouse en particulier devrait avoir honte qu’il y ait jusqu’à 250 chiens qui entrent à Mairena chaque mois. La plupart d’entre eux dans des conditions d’abandon et de maltraitance extrême. Beaucoup d’entre eux provenant de la chasse. Beaucoup d’entre eux provenant de galgueros qui les détruisent avec leur activité cruelle et à qui, bien sûr, la perrera de Mairena fournit de nouveaux galgos. Les responsables sont les politiques, mais également les gens des villages et des villes d’Andalousie et d’Espagne et qui assistent à cette cruauté sans intervenir, sans exiger que leur argent ne soit pas destiné à maintenir une telle ignominie ou que les institutions servent à autre chose que voler, couvrir des fautes et se rendre complice.
 
Ce qui est sûr c’est que les animaux sont les victimes innocentes de cette situation d’extrême non assistance et d’absence de transparence de Mairena. Et que les véritables protecteurs d’animaux n’en peuvent plus. C’est pour cela que le PACMA (qui précisément a présenté cette semaine un effrayant dossier sur la situation des galgos) a déposé une plainte devant la Fiscalia General de Medio Ambiente de la Junta de Andaluia pour un présumé délit de maltraitance animale, caractérisé dans l’article 337 du Code Pénal. Pour ceci, sa plainte a été sotenue par la plainte collective de 67 particuliers représentés par Claudia Ferraro, responsable du refuge La Canada de las Canes et disposée à prendre ce risque dans une zone où il ne fera pas bon vivre pour elle une fois les médias retirés. C’est pour cela que certaines associations comme La Sonrisa Animal, La Voz Animal, Asanda ou la Fondation  Benjamin Mehnert ont poussé un cri qu’elles ne peuvent plus retenir. Elles ne demandent pas la fermeture de Mairena mais le changement de sa direction. Elles demandent que les recours matériels et humains profitent à leurs destinataires légitimes c’est-à-dire les chiens et les chats qui laissent leurs os là-bas. Elles demandent un véritable système de promotion de l’adoption et non de l’extermination. Elles demandent une politique des portes ouvertes aux adhérents et à quiconque serait intéressé par les animaux qui sont recueillis avec l’argent de la municipalité.
 
En même temps que je finis d’écrire cet article, je regarde Pizca. C’est une de mes chiennes. Elle est arrivée de la “Protectora” de Mairena, sauvéede l’enfer  par ma soeur, Esther Toledano  qui a sauvé des centaines de chiens. Avec l’aide d’autres volontaires. Avec son argent et celui de personnes solidaires. Avec son temps, son courage et son coeur. Pizca est arrivée dans un état lamentable qui lui ont laissé de graves séquelles physiques. Elle est maintenant heureuse comme tous les chiens qui reçoivent un peu de l’amour qu’ils offrent et parce qu’elle a eu la chance d’accéder à la vie de dignité que tous méritent. Mais je ne peux m’empêcher de m’effondrer en pensant à cette fumée quui, aujourd’hui, s’élève du crématorium de Mairena. Cette fumée qui est l’ultime trace de ceux qui n’ont pas eu de chance. La fumée qui aurait pu être Pizca (qui aurait pu être Willy, qui aurait pi être Tomasa.....) si elle avait été condamnée à mourir par injection d’anectine, puissant toxique qui engendre une paralysie musculaire sans perte de conscience et une lente asphyxie jusqu’à la mort.
 
Il est dit que la perrera de Mairena utilise l’anectine pour tuer les animaux en excédent. Qu’ils les tuent et ce même s’ils ne sont pas malades en phase terminale avec cette méthode sans anesthésiant alors que c’est obligatoire mais bien plus économique. Son usage est extrême et là encore aucune transparence ce qi amènera les responsables à rendre là aussi des comptes. Ou bien, par leurs défections, les responsables institutionnels eux aussi devront rendre des comptes. Quelqu’un devra répondre des martyres de Mairena. Au nom de Owie, au nom de Nemo qui n’ont pas survécu. Au nom de tant de faibles qui ont succombé à la maladie causée par ce destin non mérité. Au nom de tous les chiens et chats qui ont été exterminés sans avir eu seulement le temps de porter un nom. Et au nom de toutes les personnes de bonne volonté de cette Espagne Negra qui ne veut plus de martyres ni de luxure de tant de scélérats et de tant de sans âmes.
 
Traduit par Marie-Hélène Verdier
Trésorière et cofondatrice de GEE
 
Il y a eu une autre perrera dans ce même secteur qui avait fait parler d’elle il y a quelques années et à laquelle j’avais consacré des articles sur plusieurs années. Il s’agit de la perrera de Puerto Real:
Eux aussi utilisaient, pour euthanasier les animaux, un relaxant musculaire provoquant peu à peu une paralysie de tous les muscles, la mort survenant par asphyxie avec la paralysie du système respiratoire. Une mort lente et douloureuse car les animaux restent conscient jusqu’à la fin et si vous pensez que les doses sont utilisées avec parcimonie parce que si on peut piquer deux chiens avec une même dose c’est autant d’économie, vous n’aurez pas de mal à imaginer la souffrance de ces chiens et chats qui peuvent mettre 1/2 heure pour mourir.
C’est ainsi que meurent les animaux de Mairena, comme mouraient et meurent peut-être encore ceux de la perrera de Puerto Real:
 

 

 

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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 17:05

 

Mairena ..... où est la vérité?
Les informations fusent concernant ces galgos qui ont été vus et dont certains sont même morts à l’heure qu’il est. Des appels à dons sont lancés pour en sortir un maximum .... l’argent va entrer à flot .... mais quid de ces galgos une fois arrivés sur le sol français? Certains seront adoptés “compulsivement” sur photo et quid de ces adoptions quand les analyses les donneront pour leishmanieux ou ayant une atteinte du pancréas ou du foie et j’en passe ? D’autres adoptions tout autant compulsives verront nos galgos finir sur le boncoin à donner et sans que personne ne lève le petit doigt. Il y aura bientôt plus de galgos à sortir du boncoin et de nos refuges qu’à sauver des perreras d’Espagne. Certains diront que j’exagère ..... je n’en dirai pas plus.
Alors sortons du sentier des rumeurs pour nous tourner vers cet article de Raphael Narbona, écrivain et critique littéraire et qui aura au moins le mérite de rester au plus près de la situation actuelle avec des propos “non compulsifs”.
 
 
mairena-3.jpgDeux adhérents de cette Sociedad Protectora de Animales y Plantas (SPAP) de Mairena de Aljarafe (Seville) ont gravé à Noel une vidéo témoignant de l’état des installations. [....].
Le témoignage a été plus que surprenant: cages inondées d’excréments et d’urine, chiens terrorisés, sales, malades et également morts. Un véritable camp d’extermination qui rappelle les horreurs de la Shoah. Beaucoup s’insurgent quand il est fait un rapprochement entre la politique d’extermination des nazis et la violence engendrée sur les animaux mais certains survivants, comme l’écrivain autrichien Fred Wander qui a eu la chance d’échapper à la mort à Auschwitz et Buchenwald, ont affirmé que les juifs, les gitans, les polonais, les témoins de Jéhova, les homosexuels, les prisonniers de guerre russes, les handicapés physiques ou mentaux, les communistes, les exilés espagnols et tant d’autres victimes, furent écrasés par un engrenage dont les méthodes étaient copiées sur le modèle des abattoirs industriels. Fred Wander était scandalisé par le traitement subi par les animaux en zone rurale du Midi de la France. Chiens enchainés, chats harcelés à coups de pierre, agneaux égorgés, volailles engraissées. Des cènes qui se répétaient dans toute l’Europe et qui remettait en question le supposé progrès moral de notre espèce “Nous ne savons en réalité rien de l’amour si nous sommes incapables d’aimer les animaux” écrivait Wander.
 
Les images de Mairena ont inondé les réseaux sociaux parvenant à obtenir 30.000 signatures en 24 heurs. Les autorités sont intervenues devant l’avalanche de protestations et le rassemblement d’individus autour de cette protectora, exigeant des solutions. Ce serait 200 hommes et femmes qui ont accouru avec l’intention d’alimenter et de secourir les chiens. Ces 200 personnes nous ont rendu notre dignité et l’espoir, démontrant ainsi que l’être humain est également capable de solidarité autour de la souffrance des plus faibles et vulnérables. Et de rappeler qu’il y a quelques temps Toni Canto, député de UPyD affirmait que les animaux n’ont pas le droit de vivre.
[.....]
 
Beaucoup de rumeurs circulent sur les chiens de Mairena. Certains affirment qu’ils sont quasiment tous morts. D’autres parlent de chiens sauvés. Mais il semblerait qu’en réalité rien ne pourra être mis en place tant qu’un ordre de justice n’autorisera l’entrée dans les locaux.
[....]
Le problème ne se limite pas à Mairena mais il s’étend par la peau endurcie d’un pays fanatique de corrida, de chasse, le cochon égorgé en famille ou l’abandon des animaux de compagnie appelés “mascotas” en Espagne, un terme que Narbona qualifie d”horrible et mesquin. Des abandons justifiés pour allergie, déménagements ou naissance d’un enfant. Rien ne changera tant que les familles et les écoles n’inculqueront pas aux enfants l’amour et le respect du aux autres espèces. Les chiens de Mairena ne sont pas plus malheureux que les animaux de ferme, oubliés et dévalorisés. Les animaux ne sont pas des objets de consommation. Ce sont nos jeunes frères et souvent notre famille, ceux qui nous accompagnent quand d’autres s’éloignent de nous parce que nous avons vieilli, perdu notre travail ou tombé malade. Un jour, nous devrons reconnaitre tut ce que nous leur devons et on pleurera pour l’impardonnable douleur que nous avons semé sur notre chemin
 
Traduit par Marie-Helene Verdier
Trésorière et cofondatrice de GEE
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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 20:35
1526294_585784028164351_123945535_n.jpgUn rassemblement a eu lieu devant la perrera de Mairena et il semblerait que la Guardia Civil ait pu entrer dans les installations et ce malgré le refus des responsables. Tout le monde était là: des associations, des activistes, des bénévoles et surtout les médias.
Les employés de la perrera se sont vus refuser l’accès aux installations, la direction ayant trop peur que les manifestants profitent de cette opportunité pour pénétrer en force.
Cette perrera qui se déclare association de protection animale avec également des adhérents se devrait d’accepter les visites de contrôles des autorités au lieu de se comporter comme un bunker dont aucune information n’est censée sortir sur la façon dont sont traités les animaux.
Une bénévole est arrivée à sauter le mur et à ramener des preuves supplémentaires de maltraitance et ce avant que la direction ne dépose une plainte contre elle. Elle avait également sorti clandestinement deux chiens d’entre ces murs.
Espérons que maintenant une procédure sérieuse soit lancée contre cette perrera et ce avec la collaboration des autorités concernées.
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PUBLIE LE 17/01/2014
N’oubliez pas de signer la pétition toujours d’actualité pour que soit fermée cette perrera:
 
A signer également cette pétition mise en ligne par le PACMA et réclamant l’intervention immédiate des autorités pour constater l’état lamentable de cette perrera:
 
 
PUBLIE LE 15/01/2014
Pour ceux qui ne connaissent pas encore la perrera de Mairena qui, en fait, se fait appeler association de protection animale et pousse même le vice jusqu’à se vanter d’avoir des adhérents, de pauvres adhérents dont certains n’ont pas encore compris que leur argent ne profite surement pas au confort des ces pauvres animaux laissés dans des conditions lamentables ..... Mairena, un véritable mouroir!
 
Des années que cela dure, des années de pétitions signées, des années de fausses promesses des municipalités concernées pour améliorer la situation et enfin .... quelques adhérents qui ont mis en ligne cette vidéo pour témoigner de l’horreur vécue entre ces murs.
Des chiens vivants dans un mélange de boue et d’excréments décomposés, les petits chiens mélangés aux gros et au milieu de capharnaum pestilentiel .... des cadavres!
Canal Sur a tenté d’entrer en vain dans les locaux de cette perrera et la seule chose dont ils ont pu témoigner est l’odeur de mort qui ressort de ces murs et se répand alentours.
6 employés sont censés s’occuper de l’entretien de 10.000 M2 d’installations pour une moyenne de 250 chiens. Certaines municipalités ont rompu leur contrat avec cette perrera à la suite des nombreuses plaintes déposées mais malheureusement certaines autres continuent de faire appel à ses services.
 
VOIR LA VIDEO EN CLIQUANT SUR LE LIEN:
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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 20:37
..... et à supposer qu’on leur en laisse le temps vu que, contrairement à ce qui est dit dans cette vidéo, les animaux y meurent très vite d’infections essentiellement pulmonaires ou blessés quand on sait que les chiens sont placés dans les box sans tenir compte de leur taille et de leur race, là encore on entend dans cette vidéo un autre discours ....
 
 
Cette dame, la gestionnaire de la perrera, a beau dire ce qu’elle veut, il n’en reste pas moins que nous savons tous que la vérité est ailleurs et que la perrera d’Olivenza reste une des pires perreras d’Espagne !
A vous d’en juger:
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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 21:54
recal.jpgL'Espagne: des milliers d'animaux meurent chaque année parce qu'abandonnés, malades, sans soins et personne pour abréger leurs souffrances intolérables en fin de vie ET dans le même temps, dans les perreras, ce sont des milliers d'animaux en bonne santé qui seront euthanasiés.
Cherchez l'erreur .... et qu'en est-il des autres pays d'Europe?
 
RECAL est une association au service de la perrera d'Almendralejo en Extremadura qui est donc gérée depuis 15 ans par des protecteurs d'animaux. Et voilà que maintenant certains groupes politiques de cette municipalité réclament le retour des euthanasies au bout des 20 jours légaux d'arrivée des animaux.
Depuis que RECAL gère la perrera ce sont pas moins de 3000 chiens et chats qui ont été placés en adoption et cette équipe se refuse à euthanasier.
 
 
La rentrée de septembre risque d'être houleuse sur ce sujet. Affaire à suivre
Une partie de l'équipe de RECAL en visite à la mairie:

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 22:06

mairena2.JPG

 

ou fait semblant de réagir. Ce qui est sûr c'est qu'elle a publié sur son site devoir interrompre temporairement , et c'est bien là que le bas blesse, l'accord  initial qu'elle avait avec la Sociedad Protectora de Animales y Plantas de Sevilla, plus connue par une autre dénomination plus adaptée quand on sait ce qui se passe entre ses murs, la perrera de Mairena

http://www.mairenadelaljarafe.es/fuentes/noticia.php?Id=1591


 

mairena3.JPG

 

 

La municipalité, croulant sous les plaintes et dénonces concernant cette perrera, n'a pas pu faire autrement que de prendre cette initiative en espérant que cette interruption momentanée des accords aboutisse à la fermeture de la perrera et à sa réouverture en véritable centre de protection animale gérée par des défenseurs des animaux ..... on peut rêver!

Nouvelle reléguée dans la presse également:

http://www.abcdesevilla.es/20120215/sevilla/sevp-cesa-convenio-protectora-estado-20120215.html

 

Mairena, un enfer où les animaux sont diarrhéiques au dernier degré, mélangés sans aucune distinction de taille ou de race, vivant dans leur merde, nourris avec des croquettes jetées à l'économie par dessus les grilles, les plus gros chiens bouffant, les autres se réfugiant dans un coin et se laissant crever de faim après la première morsure.

Mairena qui se dit Société de Protection Animale et qui de ce fait perçoit des dons de particuliers et a des adhérents n'est rien d'autre qu'un mouroir de la pire espèce

 

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Les cages des condamnés à mort. C'était le n° 751 : il est mort

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 21:04
Cette image est le symbole même de ce que vaut une vie de galgo: rien du tout. Un outil qui comme tout outil sera jeté par un qui considèrera qu'il ne vaut rien, récupéré par un autre qui se dira que peut-être il y aura quelque chose à en tirer pour se rendre compte que finalement non et le jeter à son tour pour que, qui sait, un autre galguero jette son dévolu dessus et ce ..... de souffrance en souffrance ..... de maltraitance en maltraitance ..... finir par n'espérer qu'une chose ..... MOURIR!
 
Regardez cette photo. Elle a été prise en cachette par une bénévole car personne n'a le droit de tirer le portrait des chiens de la perrera de Mairena. Pourquoi les prendre en photo puisqu'ils ne rentrent là que pour y mourir au bout de quelques jours.
Une perrera de la pire espèce et dont nous avions déjà parlé ici même, une perrera qui trompe son monde et arrive même à avoir des dons car qui penserait que derrière ce refuge qui se prétend "protection animale" se cache en fait un véritable camp d'extermination!
N'oubliez pas de signer la pétition:
 
Aucune possibilité pour les bénévoles de faire des photos, aucune possibilité pour eux de chercher une famille à quelques uns de ces malheureux. Les seuls qui ont des droits, sont les chasseurs qui viennent ici comme ils veulent et jettent ou emportent les galgos comme ils l'entendent.
Galga blanche aurait préféré mourir là à Mairena, elle avait accepté cette éventualité et qui sait .... peut-être c'eut été mieux pour elle. Malheureusement l'enfer se continuera pour elle, elle l'a su dès qu'elle l'a vu entrer, lui, celui qui ressemble à tous ces autres .... les galgueros. Elle ne voulait pas le suivre, elle voulait rester là et y mourir pour enfin avoir ce repos tant mérité après tant de galères et de méchanceté subies. Il faudra qu'il la traîne par le collier, celui que lui avait laissé l'autre galguero à qui elle aurait tout donné pour juste un geste de tendresse. Traînée comme un chiffon, cette galga suivra malgré elle en laissant une traînée de pisse sur tout le chemin.
Ce soir on a une pensée pour cette galga qui devra encore et encore connaître le froid, la faim et les coups .... hasta cuando .... jusqu'à quand?

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 17:37
Nous sommes toujours en attente des résultats de l'autopsie de Salva et la perrera de Cordoba fait encore parler d'elle avec l'euthanasie expéditive de tous les chats qui se trouvaient dans ses murs er ce alors que certains étaient réservés par des bénévoles et d'autres avaient trouvé des adoptants.
Une pétition circule qui demande là encore des comptes à la municipalité.
Si vous la voyez ne la signez pas SVP car elle ne circule uniquement  que pour les espagnols. J'ai pensé une chose, c'est que si nous la signons, elle va être retirée du net une fois le nombre de signataires obtenus mais si à partir de ce moment ils sont obligés de retirer les signatures des étrangers qui ne sont pas directement concernés, le risque est qu'à partir de là ils se retrouvent avec un nombre insuffisant de participants.

PUBLIE LE 21/12/2011
Les résultats de l'autopsie de Salva n'ont toujours pas été donnés. Il faut dire que c'est une école vétérinaire qui la fait gratuitement pour le compte de l'association de Burgos et donc il faudra leur laisser un peu plus de temps.
Il semblerait que la municipalité de Burgos et surtout la conseillère municipale concernée soient sensibilisés par les derniers évènements concernant la perrera et notamment la mort suspecte de Salva. La première décision prise a été celle de nommer un vétérinaire qui sera chargé de rendre visite chaque jour à la perrera ce qui veut dire que ce ne seront plus les responsables de la perrera qui décideront si oui ou non un animal a besoin de soins, et c'est ce même vétérinaire qui effectuera les soins.
D'autre part l'association a été autorisée à récupérer en ce moment même un chien qui était blessé à l'intérieur de la perrera et ce sans que le délai des 20 jours n'ait été respecté. Les choses changeraient-elles au sein de la perrera de Burgos?

PETITION A SIGNER CONCERNANT SALVA, LE GALGO ASSASSINE DANS LA PERRERA ( mettez votre code postal avec "FRANCE" à côté)


 
Salva ne laisse pas insensible la presse qui a publié un article posant la question ¿Quién le hizo esto a Salva? - Qui a fait ça à Salva?
 
 
Salva est à l'heure actuelle autopsié et l'association espagnole  attend les résultats avant de solliciter une entrevue avec  la conseillère municipale chargée du secteur sanitaire dont dépendent les animaux.
 
Le 30 novembre un vétérinaire envoyé par une association s'était rendu à la perrera pour pucer le galgo et a constaté à ce moment là qu'il avait quelques blessures bénignes. Il demandera alors à ce que ces blessures soient soignées en attendant le délai légal pour que l'association le récupère. Quand quelques jours après, le 3 décembre exactement, les bénévoles se sont rendus à la perrera, Salva avait disparu et même les employés ne savaient pas où il était et ce jusqu'à ce qu'on leur signale que ce dernier se trouvait hospitalisé en clinique vétérinaire. Les bénévoles le découvriront dans un état grave avec des bandages recouvrant des plaies à vif sur tout le corps.
Les lésions, selon le vétérinaire, semblaient avoir été causées soit par le fait qu'il ait pu être traîné au sol ou bien d'origine chimique ou bien des brûlures d'eau bouillante.
 
Une vidéo du refuge de Burgos qui accueille chaque année plus de 500 animaux (chiens, chats, lapins ....). Vous pouvez y voir le cas de Bilma qui avait été jetée, elle et ses trois chiots, au fond d'un puit.  D'autres comme Yeron et Kiara, trouvés dans un container poubelle. Nana, une chienne très malade que ses maîtres avaient abandonné et qui sera sauvée avec sa portée.
20 bénévoles travaillent chaque jour dans ce refuge qui n'euthanasie pas et qui fait son possible pour trouver des familles à tous ces malheureux.
Ce refuge voit 7% de ses besoins financés par des subventions publiques, tout le reste est financé par les adhérents, dons, parrainages, collectes, vente de calendrier et loterie .....
70% des animaux recueillis réclament des soins pour maladie, blessures ou fractures.
Heureusement il y a les adoptions qui remontent le moral comme vous pouvez le voir sur la vidéo.

 
 
Personne n'a pu sauver Salva mais peut-être Kipper, ce galgo croisé qui risque de passer sa vie au refuge de Burgos, aura plus de chance, celle que ... qui sait .... vous lui offrirez pour Noel:
 
Vous pouvez laisser un commentaire concernant l'article de presse dédié à Salva. N'hésitez pas, même en français, inondez cet article de vos commentaires scandalisés. Il vous suffit de cliquer sur "Haz tu comentario"en vous rendant sur ce lien:
 
Apodo : Nom
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PUBLIE LE 12/12/2011
SALVA N'EST PLUS, IL NOUS A QUITTE

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Mais que se passe-t-il dans cette perrera de merde?
Salva n'a pas pu surmonter son état et a du être endormi avec son secret.
Aucune chance accordée pour les galgos qui entrent dans cette perrera, aucune chance accordée non plus aux bénévoles qui les réservent en attendant que s'écoule le délai légal qui leur permettrait ensuite de les sortir de là.
Qui maltraite de la sorte les galgos et ce de l'intérieur de la perrera car c'est bien là que se cache celui qui est à l'origine de leur malheur.
Il y a eu également le cas de cette galga entrée dans la perrera il y a peu, sans puce, sans papiers. Là encore les bénévoles laisseront courir le délai légal avant de venir la chercher et apprendre tout simplement ce jour là que la galga avait été récupérée par son propriétaire? Quel propriétaire puisqu'elle n'avait ni puce ni papiers? Qu'est devenue cette galga?
 
Salva, un galgo qui avait juste un matricule dans cette perrera, n° 3784 ........
 
Salva nos ha dejado, la deshidratación derivada de las quemaduras afectó a todos sus órganos internos y no ha podido seguir luchando.
Salva nous a quittés, la déshydratation, conséquence de ses brûlures, a gagné tous ses organes vitaux et il n'a pas pu le surmonter
 

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La perrera de Burgos, encore un endroit où l'on entre pour ne jamais en sortir tant les difficultés sont grandes pour les bénévoles pour dire d'arriver à convaincre la direction de libérer un chien de cet endroit sordide de temps à autres.
Ce galgo est arrivé à la perrera dans un état lamentable de maigreur mais pas désespéré. Les perreras imposant un délai "légal" avant de pouvoir sortir un chien d'entre ses murs, les bénévoles attendront le jour J pour venir le chercher. Sauf qu'à leur arrivée le galgo était dans cet état là, laissé dans son chenil sans aucun soin. Immédiatement hospitalisé par les bénévoles, le vétérinaire de la clinique donnera son diagnostic: brûlé à l'acide.

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salva7.JPG

Comment se peut-il que ce galgo qui était sous la responsabilité de la perrera municipale ait été brûlé ainsi sans que personne ne bouge et que les bénévoles n'aient pas été immédiatement prévenues?
Il s'appelle Salva et ne pourra jamais nous dire les circonstances de l'horreur qu'il a vécu entre les murs de cette tombe qu'est la perrera de Burgos.
 
Il n'y a pas d'appel à dons pour ce galgo car on m'a répondu que l'argent nécessaire pour ses soins a été maintenant récolté
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