Souvenez-vous l’affaire Puerto Real ..... le blog “agir pour les galgos” avait consacré plus de 10 pages relatant toute cette triste affaire:
Des animaux euthanasiés avec un paralysant musculaire injecté à l’économie et qui causait la mort de centaines de chats et chiens, dans une agonie lente et douloureuse sachant que ces animaux restaient conscients jusqu’à la paralysie du système respiratoire qui, enfin, les menait à la mort. Cette perrera était gérée par une directrice, un gérant et deux vétérinaires.
Une mobilisation exceptionnelle avait eu lieu pour dénoncer cette horreur connue depuis des années, une pétition avait regroupé un nombre impressionnant de signature et une manifestation géante s’était déplacé dans la ville de Cadiz pour dénoncer également le laxisme de la mairesse.
Résultat? à ce jour aucun jugement sérieux digne de ce nom n’a eu lieu et pire encore ..... le gérant de cette perrera continue à être à la tête de cette perrera pour le compte de nombreuses municipalités du secteur.
Pourquoi? tout simplement parce que le gérant est un homme influent que l’on a placé à la tête de cette perrera pour qu’il s’en mette plein les “fouilles”, il est INTOUCHABLE et tellement bien protégé que lorsqu’une juge a signalé que la gestion de cette perrera était “la preuve d’une absence totale de sensibilité envers le règne animal”, elle a subi immédiatement des menaces de mort.
La perrera de Puerto Real continue de rapporter à ce “protégé” quelques 110.000 euros par an.
Définir cet autre camp de concentration, cela est possible, juste en quelques mots:
“Perro que entra, perro que se duerme”
“Chien qui entre, chien qui s’endort pour l’éternité”