C'est ce que la Juge a décrété: une liberté provisionnelle pour un des 7 travailleurs de la perrera accusés d'usage de Mioflex pour euthanasier les animaux. Cette personne qui était recherchée et capturée depuis le 8 juillet était détenue depuis cette date
En octobre devrait être entendu un autre des travailleurs accusés et de rappeler que les accusés sont au nombre de sept à savoir le propriétaire de la perrera, sa directrice, le vétérinaire titulaire, un autre vétérinaire et trois travailleurs accusés tous de présentation de faux documents et délit de maltraitance animale
Selon l'Association El Refugio les vétérinaires mentent quand ils prétendent avoir fait usage de Mioflex sur les animaux déjà morts pour éviter toute raideur cadavérique (je rappelle que le Seprona durant la perquisition des lieux n'avaient trouvé que très peu de produits euthanasiant licite mais une majorité de Mioflex)
Le Président du Collège Vétérinaire lui-même affirmera que le Mioflex ne peut avoir aucune action sur un organisme déjà mort