http://www.ambientum.com/boletino/detalle.asp?id=40201 Le IMIDA, Institut d'Investigation et de Développement Agraire et Alimentaire de Murcia travaille sur la possibilité d'utiliser une bouillasse résultant de la décomposition de cadavres d'animaux non ruminants comme autant d'engrais et fertilisants
Les études ont abouti sur le fait que les sous produits des abattoirs peuvent générer à eux seuls entre 30 et 40 M3 de biogaz par tonne de bouillasse
Ainsi la région de Murcia qui génère 1600 tonnes de cadavres de cochons par mois pourrait générer 48000 et 64000 M3 de biogaz par mois
Le principe consisterait à introduire les cadavres de ces animaux dans des containers fermés hermétiquement à l'intérieur desquels les cadavres se décomposeraient et se transformeraient pour un moindre coût énergétique puisque les bactéries feraient le travail elles-mêmes le tout transformé en un liquide facilement transportable. Y'a juste un hic qui cause un problème c'est les dents :-(((
Pour les ruminants il faut des autorisations mais pour les cochons ou les chèvres point n'en faut .........................................
.................................
Mais pourquoi faire si compliqué quand on peut faire si simple !!!!
300000 animaux domestiques (non ruminants) euthanasiés chaque année
50000 galgos massacrés chaque année
La voilà la matière première idéale pour alimenter les containers!
C'est qu'ils y ont vraiment pas pensé ou c'est qu'ils prennent les gens pour des c...?
Petit commentaire laissé sur place:
300000 animales sacrificados cada ano en las perreras
50000 galgos asasinados cada ano
Si que con tanta matanza Espana no sabe que hacer con todos estos cadaveres ... quizas si la solucion seria las cubas antes que su pais no sea mas que un carnero de verguenza
300000 animaux euthanasiés chaque année dans les perreras
50000 galgos assassinés chaque année
C'est sûr qu'avec autant de tuerie l'Espagne ne doit aps savoir que faire de tous ces cadavres ... qui sait si la solution n'est pas dans les containers avant que votre pays ne soit plus qu'un charnier de honte