CADIZ : COURRIER ENVOYE AU DIRECTEUR DE CABINET DU

DU GOUVERNEMENT ESPAGNOL

gabinete@presidencia.gob.es 

Courrier en espagnol traduction ci-dessous en français:

Estimado Senor Director del Gabinete del Gobierno de Espana,

Las medidas se impulsaran .... lo decia usted hace poco tiempo.

Pero cuando no se hace nada las cosas acaban por impulsarse de si mismo y eso es lo que pasa ahora con el asunto de la perrera de Puerto Real en que se vio que no solamente no fueron respetados los derechos de los animales sino tambien los de un ciudadano italiano que de estatuto de victima acabo en prieson y eso, se lo dice en Espana, para quizas deviar la atencion sobre el escandalo de la eutanasia de animales en la perrera con producto prohibido.

Seria eso un ejemplo de derivas de un poder decentralizado que, para proteger intereses individuales acaba con un incidente diplomatico?

Si Espana hubiera una ley nacional de proteccion animal, si que un asunto tal Puerta Real se hubiera arreglado de manera diplomatica y con justicia.

La manero cuyo se trato este asunto en Espana se pone un escandalo que podria llegarse hacia el Parlamento Europeo

Acabaremos este correo saludando el coraje de los Verdes espanoles para su posicion adoptada en frente de este asunto

Recibe Senor Director del Gabinete del Gobierno espanol, nuestros cordiales saludos

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Monsieur le Directeur du Cabinet du Gouvernement d'Espagne,

Les mesures s'amélioreront .... disiez-vous il y a peu de temps.

Mais quand on ne fait rien, les situations finissent par évoluer d'elles mêmes et c'est ce qui se passe en ce moment concernant l'affaire de la perrera de Puerto Real où l'on a pu voir que non seulement n'étaient pas respecté les droits des animaux mais également ceux d'un citoyen italien qui de statut de victime a fini en prison et ceci, c'est ce qui se dit en Espagne, pour peut-être détourner l'attention sur le scandale de l'euthanasie d'animaux dans la perrera de Puerto Real avec un produit interdit.

Serait-ce là l'illustration même des dérives d'un pouvoir décentralisé qui, pour protéger des intérêts personnels se termine dans un incident diplomatique?

Si l'Espagne était dotée d'une loi nationale de protection animale, il est certain qu'une affaire comme celle de Puerto Real se serait réglée de manière diplomatique et avec justice.

La manière dont est gérée cette affaire en Espagne devient un scandale qui pourrait bien aller jusque devant le Parlement Européen

Nous finirons ce courrier en saluant le courage des Verts espagnols pour leur prise de position dans ce dossier

Veuillez agréer, Mr le Directeur du Cabinet du Gouvernement d'Espagne, nos sincères salutations