Dans un communiqué l'organisation a dénoncé la conduite intolérable de cruauté et de maltraitance animale de la perrera de Puerto Real
Les écologistes ont qualifié la perrera de "camp d'extermination animal" et ont rappelé les nombreuses dénonces qu'avaient déjà réalisé les organisations animalistes et écologiques contre la même perrera "soutenue par des fonds publics des municipalités de Bahia de Cadiz".
C'est ainsi qu'ils demandent la libération immédiate de Simon dont on rappelle qu'il est incarcéré pour une "supposée" aggression sur un élu de la municipalité
C'est en ce sens qu'ils affirment que la prison sans garantie de ce propriétaire et victime de la mort de ses chiens est "complètement disproportionnée" bien qu'ils précisent rejeter toute manifestation de violence.
L'éclaicissement des faits survenus lors de la manifestation doivent atteindre selon eux les véritables responsables de la torture animale
Ils considèrent que ce n'est qu'en éradicant les comportements de "dédain, cruauté et torture" des animaux et en punissant ceux qui "les pratiquent et les encouragent" que l'on arrivera à ce que des individus et des animaux puissent vivre "sans développer des comportements qui fassent souffrir les animaux "