Le collectif fait allusion dans son communiqué d'un extrait de rapports de la Seprona dans lequel les agents vérifièrent qu'il s'utilisait bien le Mioflex Braun car entre les déchets ils ne trouvèrent pas d'autres produits pharmaceutiques tout comme les fournisseurs eux non plus n'en fournissaient pas d'autres
Devant cette situation, le porte parole d'El Refugio à Cadiz, Ignacio Paunero, demanda aux municipalités qui étaient en contrat de récupération d'animaux abandonnés avec cette perrera de Puerto Real de " rompre le contrat car cela serait politiquement correct en cette situation". Paunero rappela qu'une dénonce avait été déposé contre cette entreprise le 15 juin après des mois d'investigation.
On rappelle que c'est lundi prochain que doivent se consulter toutes les communes devant un projet présenté par quelques associations à savoir que ce soit la communauté des communes qui prenne en charge la construction d'une nouvelle "perrera" sur un modèle plus humain à savoir pas d'euthanasie, un programme d'adoption, stérilisation, identification et surtout une gestion entre les mains de gens proches de la cause animale et non plus entre les mains d'entreprises qui ne voient que leur profit
Un autre article qui reprend les grandes lignes déjà présentes dans ce blog sur cette affaire qui espérons le, restera une exception mais les espagnols disent eux mêmes que le problème de la maltraitance des animaux en Espagne est comme un puit .... on n'en voit pas le fond
http://www.diariobahiadecadiz.com/noticias/884notpropuestaperreramancomunadabahia.htm