16 octobre 2012
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et là encore des milliers d’animaux qui en ont payé le prix fort dans les secteurs de Almeria, Malaga et Murcia.
Les médias ne parlent pas en terme de vie mais en terme de tonnes pour parler de ces montagnes de corps sans vie, en majorité des chevaux ou des porcs de fermes d’élevage.
Des vies perdues disons-nous, une perte économique dit-on de l’autre côté.
Et pourtant ces animaux on ressenti exactement le même stress, la même angoisse, même peur et même douleur que nous autres humains face à ce délire climatique.
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C’est l’histoire ordinaire et si commune de tous les chiens de chasse en Espagne, volés, cédés et revolés et recédés. Une vie à passer de main en main, de malfrats en malfrats. 
Eh oui, tous ces animaux coutent cher à entretenir, à nourrir et donc les autorités locales ont trouvé la solution. Les chasseurs paieront ainsi un droit de chasser dans la réserve ce qui permettra d’acheter pour un an de nourriture à ceux qui auront la chance de survivre.
Notre amie Carmen Ossorio
color, generalmente puro, y la forma, despojada de detallismo, se usan para traducir pensamientos y sensaciones en términos visuales. El resultado final son ciudades que languidecen, con un planteamiento estético naif, en una tristeza silenciosa.
On peut dire que nos politiques, qu’ils soient placés aux hautes sphères de l’état ou simples élus politiques territoriaux, sont un exemple bien médiocre pour leurs administrés. Et ce quelque soit le pays. 
13 ans plus tard la Conseillère en Agriculture a décidé d'en confier la gestion aux chasseurs qui récupèrent ainsi un fief de 15.549 hectares, de quoi devenir les rois de la gachette. Des animaux en voie d’extinction vivent sur ce territoire, comme la cigogne noire, l’aigle impérial et le lynx ibérique. /fdata%2F1248182%2Favatar-blog-1009719441-tmpphpP8xZPU.jpg){kind=avatar}
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