1 novembre 2007
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http://www.diariodecadiz.es/190528_ESN_HTML.htm
A raíz de dichos acontecimientos, el delegado municipal de Medio Ambiente, José Pedro Butrón, ha anunciado que es partidario de que por parte de la Mancomunidad de Municipios de la Bahía "se ofrezca un servicio público y de esa forma se garantice que aspectos económicos no conduzcan al exterminio de forma dolorosa de los huéspedes caninos del establecimiento, como al parecer, ha ocurrido en Puerto Real".
Le délégué municipal de l'environnement, Jose Pedro Bitron, a annoncé être partisan d'un service public lié à la communauté des communes et qui offrirait une garantie à ce que l'aspect économique n'aboutisse pas à une euthanasie douloureuse des animaux comme cela aurait été le cas à Puerto Real
Asimismo propondrá en la próxima reunión del ente mancomunado que se cree una fundación en la que estén integradas las asociaciones protectoras de animales que además de experiencia aporten la sensibilidad mínima exigible en estos temas.
Ainsi donc il proposera lors de la prochaine réunion des communes que soit créée une fondation dans laquelle seront intégrées les associations de protection animales qui en plus de leur expérience apporteraient le minimum de sensibilité exigible à ce sujet
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AFFAIRE CADIZ
1 novembre 2007
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19:30
L'ACCUSATION D'AGRESSION CONCERNANT LA MANIFESTATION DE CADIZ (PERRERA DE PUERTA REAL) http://www.lavozdigital.es/cadiz/20071101/cadiz/juez-imputa-fiori-agresiones-20071101.html Sa compagne qui maintient son innocence est laissée en liberté après avoir été écoutée concernant l'accusation pour résistance aux autorités
Quant à Simon il restera encore en prison accusé d'agression aux autorités et insultes.
L'épouse de l'italien a nié devant le juge d'avoir à aucun moment résisté aux policiers lui apposant comme argument que contre quatre policiers une femme ne peut pas grand chose
Les membres de la Corporation et quelques témoins dont les agents de police ont reconnu l'italienne comme étant un des agresseursqui insulta et poussa les conseillères municipales. Le juge a décidé de laisser l'italienne en liberté avec charges en attendant le jugement définitif auquel seront concernés également Simon et Carmen S. Le premier accomplissant la prison préventive, la seconde étant restée en liberté après avoir payé les 3000 euros de garantie qu'imposa le juge. Les deux sous l'accusation d'attentat contre l'autorité et atteinte à l'ordre public. La peine encourue pour ces délits peut aller jusqu'à 6 ans de prison
L'étape suivante est le recours que présentera l'avocat des italiens pour la libération de Simon. Un dossier sera déposé des mains de l'avocat pour tenter avec des preuves audiovisuelles et photographiques de prouver "qu'à aucun moment il n'y a eu d'agression de la part de Simon envers les conseillères municipales durant la manifestation"
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AFFAIRE CADIZ
29 octobre 2007
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En la manifestación que tuvo lugar en Cádiz, secundada por unas 2.000 personas (bravo, Cádiz), detuvieron a Simone, uno de los dueños de los tres perros asesinados, alegando agresión a la alcaldesa y dos concejalas del PP y PSOE (que más tarde se contradijeron diciendo que no habían visto a Simone durante la manifestación). >>> les deux témoins du PP et PSOE se sont contredites plus tard en disant ne pas avoir vu Simon durant la manifestation
La realidad es bien distinta, ya que en el juicio uno de los guardaespaldas de la Alcaldesa confesó que detuvieron al italiano (después de pegarle brutalmente) porque "creían que podía agredir a la alcaldesa", Teófila Martínez (PP). Mientras, ésta rompía en la cara a Jo, la pareja de Simone, la foto de sus tres perros asesinados y la insultaba llamándola "idiota". On rappelle les faits et on ajoute que la réalité est bien distincte et qu'un des gardes du corps de la mairesse a confessé qu'ils avaient appréhendé l'italien (après l'avoir tapé brutalement) parce que ils pensaient qu'il pouvait être un danger et aggresser la mairesse. C'est dans le même temps que la mairesse avait déchiré la photo des chiens devant Jo et l'avait insultée en la traitant d'idiote
Sin duda, toda esta rocambolesca y anti-democática actuación por parte del Ayuntamiento de Cádiz está orquestada para desviar la atención sobre el auténtico problema ¿que se esconde, aparte de maltrato animal, detrás de la perrera de Puerto Real? Toute cette mascarade est organisée sans aucun doute de toute pièce pour dévier l'attention du véritable problème qui est de savoir ce qui se passe en maltraitance derrière la perrera de Puerto Real
Tenéis parte de la información en este blog y en las noticias siguientes. Abajo de todo tenéis unas webs hechas por los animalistas italianos, que no dan crédito a todo lo que está sucediendo en Cádiz.
Como siempre, España haciendo el "papelón" en toda Europa por el trato que da a los animales, a los animalistas, y superándose a si misma, atentando ahora contra la democracia y los derechos humanos. L'Espagne après la maltraitance aux animaux et aux animalistes porte atteinte maintenant à la démocratie et aux droits humains. Ci-dessous un blog à consulter
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AFFAIRE CADIZ
27 octobre 2007
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21:07
LA PERRERA DE PUERTA REAL AURAIT SACRIFIE 500 CHIENS ET CHATS SANS SUIVRE LE PROTOCOLE
Au total, 566 chiens et chats qui apparemment seraient mort de manière illégale par usage du paralysant musculaire MIOFLEX BRAUN en palliant au protocole vétérinaire et tout ceci apparement pour économiser 19 euros sur les 20 qu'aurait supposé un processus légal- une dose de barbituriques qui cause un arrêt cardiaque- et tourner autour de un peu plus de 1 euro pour le coût d'usage de ce puissant bloqueur musculaire qui les faisait mourir d'une paralysie progressive de leur corps.
Le collectif fait allusion dans son communiqué d'un extrait de rapports de la Seprona dans lequel les agents vérifièrent qu'il s'utilisait bien le Mioflex Braun car entre les déchets ils ne trouvèrent pas d'autres produits pharmaceutiques tout comme les fournisseurs eux non plus n'en fournissaient pas d'autres
Devant cette situation, le porte parole d'El Refugio à Cadiz, Ignacio Paunero, demanda aux municipalités qui étaient en contrat de récupération d'animaux abandonnés avec cette perrera de Puerto Real de " rompre le contrat car cela serait politiquement correct en cette situation". Paunero rappela qu'une dénonce avait été déposé contre cette entreprise le 15 juin après des mois d'investigation.
La réaction des municipalités à cette pétition d'El Refugio fut positive, mais également prudente en espérant que se résoud le processus judiciaire. Seule la municipalité d' Algeciras, parmi toutes les municipalités consultées ne prévoyait pas de rompre le contrat " parce que dans le suivi du contrat il ne s'était détecté aucun problème et qu'il n'y avait eu non plus aucune plainte de la part des citoyens"
On rappelle que c'est lundi prochain que doivent se consulter toutes les communes devant un projet présenté par quelques associations à savoir que ce soit la communauté des communes qui prenne en charge la construction d'une nouvelle "perrera" sur un modèle plus humain à savoir pas d'euthanasie, un programme d'adoption, stérilisation, identification et surtout une gestion entre les mains de gens proches de la cause animale et non plus entre les mains d'entreprises qui ne voient que leur profit
Un autre article qui reprend les grandes lignes déjà présentes dans ce blog sur cette affaire qui espérons le, restera une exception mais les espagnols disent eux mêmes que le problème de la maltraitance des animaux en Espagne est comme un puit .... on n'en voit pas le fond
http://www.diariobahiadecadiz.com/noticias/884notpropuestaperreramancomunadabahia.htm
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AFFAIRE CADIZ
26 octobre 2007
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18:00
Les citoyens italiens Jo F et Simone R sont passés hier en jugement à Puerto Real en qualité de témoins de supposés délits de maltraitance animale, faux et usage de faux pour ce qui est de documents publics accusation porté sur quatre des responsables de la perrera canine El Refugio à savoir le propriétaire de la perrera, la directrice , le vétérinaire titulaire et le travailleur qui seraient responsables de la mort par agonie de centaines d'animaux, chiens avec un relaxant musculaire qui leur provoque une mort lente et peu coûteuse financièrement par asphyxie tout en restant cosncients. Trois de ces chiens étaient les compagnons de Jo et Simone, tous deux artistes itinérants pour un voyage qu'ils faisaient à travers l'Espagne. Ils laissèrent leurs chiens dans la résidence pour qu'ils les gardent pendant qu'ils parcoureraient la province.
En trois heures ils étaient morts, sur ce ils déposèrent ensemble une plainte.
Il faut savoir que depuis déjà longremps les associations de défense animale connaissaient les pratiques utilisées dans cette perrera sans jamais avoir pu intervenir ce qu'ils firent là en en faisant appel à la Seprona
Simone R a été transporté en fourgon pour son jugement: accusé d'un supposé delit d'intention d'aggression sur des personnes de la Municipalité sanchant quand même que les deux aggressées n'ont pas pu l'identifier réellement comme étant l'agresseur. Tout comme d'ailleurs il n'a pas été prouvé à ce jour que Simone ait participé aux insultes proférées devant l'Eglise contre les élus municipaux
Il semblerait que le seul qui puisse montrer d'évidentes blessures sur le visage et à la tête comme on peut le voir sur les photos ce soit Simone. Les seuls à témoigner d'aggression sur la mairesse sont un de ses gardes du corps et un policier. La compagne de Simone, elle, s'est vue reprocher d'avoir assisté à la manifestation après avoir été identifiée par la mairesse au Commissariat
A la porte du Palais de Justice nombreux étaient ceux qui étaient venus soutenir le couple. A 10h30 Simone en est sorti et deux heures plus tard Jo son épouse faisait la déclaration suivante " Je suis heureuse d'avoir pu relater mon témoignage et cela même si avec cette déclaration s'est ouverte une blessure et une douleur. Maintenant la juge devra s'entretenir avec ceux qui ont menti et falsifié des papiers, car je considère qu'il serait juste que cette perrera soit fermée".
La citoyenne italienne sera citée à comparaître le 31 octobre ". Un appel à témoin est lancé pour quiconque aurait des preuves concernant les évènements cités
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AFFAIRE CADIZ
25 octobre 2007
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POUR CEUX QUI VEULENT AIDER FINANCIEREMENT LES ITALIENS
DEPUIS L'ESPAGNE:
Nº CUENTA 0019 – 0194 – 11 – 4930004193
DEPUIS L'ETRANGER:
IBAN ES54 00190194114930004193
SWIF CODE: DEUTESBB
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AFFAIRE CADIZ
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La mairesse de Cadiz présente pour l'identification d'un présumé aggresseur des conseillers municipaux
La mairesse de Cadiz, accompagnée d'un de ses gardes du corps, le porte parole de l'équipe municipale, Ignacio Romani, et la conseillère du PP, Carmen Obregon, se sont rendus aujourd'hui dans la matinée au Commissariat Provincial pour l'identification des deux accusés d'aggression pendant les évènements de protestation contre la perrera de Puerto Real. Les témoins ont été confrontés aux personnes impliquées selon la procédure . La première élue de la municipalité est sortie précipitamment des locaux policiers sans faire aucune déclaration
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AFFAIRE CADIZ
23 octobre 2007
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..... QUI DEMANDENT AUX AUTORITES DE CADIZ DE FAIRE LE NECESSAIRE POUR QUE LE CAS DE LA PERRERA DE PUERTO REAL NE SE REPRODUISE PLUS
Les associations de protection animales ont été reçues la semaine passée par le Président de la communauté des communes de Bahia del Cadiz où elles ont présenté des projets alternatifs pour supprimer totalement le modèle des perreras dont on a vu dernièrement les dérives
Ils demandent en conséquence de faire un courrier demandant à ce que le système de refuge municipal évolue vers une forme plus humaine comme cela peut se voir en certains refuges espagnols. Ils demandent que ces services de refuges municipaux ne soient plus confiés pour leur gestion à des entreprises qui ne voient que leurs profits personnels. Ces refuges demandent à être assumés par des personnes sensibles à la condition animale.
Un projet est en cours de présentation et une réunion aura lieu avec les municipalités le 29 Octobre
Appuyez la démarche par un courrier envoyé aux autorités concernées.
Modèle de courrier et destinataires:
Estimados señoras y señores!
Lo que ha pasado en la perrera de Puerto Real no debe repetirse nunca mas. Le ruego atender a todos las votas de las protectoras de animales.
Queremos un Servicio Mancomunado de Recogida y Reubicación de Animales Domésticos.
Una Fundación sin ánimo de lucro que prestaría este necesario Servicio desde un trato respetuoso y ético hacia los animales. Dan una señal para España, para un país moderno y europeo.
Atentamente
Nom, Prénom, adresse
emarin@chiclana.es; proyectored.conil@dipucadiz.es; webmaster@dipucadiz.es; jpbutron@chiclana.es; ayuntamiento@puertoreal.es; ayuntamiento@elpuertosm.es; Medio.Ambiente@AytoSanFernando.org; Alcalde@AytoSanFernando.org; prensa@AytoSanFernando.org
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AFFAIRE CADIZ
17 octobre 2007
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En las diligencias elaboradas por el Seprona se ha incluido un informe elaborado por una veterinaria independiente y colegiada en Cádiz. En él sostiene que el uso del fármaco que supuestamente se utiliza en la perrera debe ser considerado como una brutalidad. Describe, además, qué efecto produce en el animal. Tras inyectarlo en una zona intramuscular provoca una parálisis ascendente que termina por bloquear las vías respiratorias. Pero mientras se desarrolla este proceso, el corazón del can sigue funcionando, de tal manera que es plenamente consciente de cómo se va ahogando. Esta profesional explica que todo procedimiento de eutanasia éticamente válido debe conllevar una sedación previa del animal para que se quede dormido.
Ce vétérinaire indépendant du collège de cadiz donnera ses conclusions à savoir que l'usage pharmacologique supposé employé dans la perrera de Puerta Real se doit d'être considéré comme une brutalité. Il décrit notamment l'effet qu'il produit sur l'animal. Après injection dans une zone musculaire il provoque une paralysie ascendante qui se termine en bloquant les voies respiratoires. Mais pendant que se produit ce processus, le coeur lui continue de fonctionner, de telle manière que l'animal reste pleinement conscient de la façon dont il va mourir. Ce professionnel explique que toute euthanasie éthiquement valable suppose un sédatif au préalable pour qu'il soit endormi
On signe SVP
http://www.petitiononline.com/perrera/petition.html en hollandais
http://www.petitiononline.com/perrera/petition.html en allemand
http://www.petitiononline.com/perrera/petition.html en anglais
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