CONTRE LA MALTRAITANCE ANIMALE ET LA TAUROMACHIE
CONTRE LA MALTRAITANCE ANIMALE ET LA TAUROMACHIE
Las corridas de toros son una tradición arraigada en nuestra sociedad. Los defensores y detractores de las corridas de toros juzgan esta práctica desde puntos de vista muy distintos. Los primeros ven en esta actividad un arte, una ciencia y una manifestación de una cultura ancestral; el aficionado no disfruta con el tormento y la muerte del toro, sino que aprecia el valor y destreza del torero y es esta maestría la que aplaude. Los segundos por el contrario centran su atención en el toro, y ven el maltrato insolente de un animal acorralado e indefenso, ante un público que utiliza el sufrimiento gratuito como medio de evasión y divertimento; piensan que esta práctica promueve la violencia injustificada, el desprecio y el maltrato de los animales.
En lo últimos años han descendido el número de peñas taurinas y el de aficionados a las corridas de toros. Mientras que por otro lado han surgido numerosas asociaciones que defienden los derechos de los animales ante la crueldad de algunas prácticas llevadas a cabo por los seres humanos.
Puesto que el Museo Taurino trata de recoger la historia de la tauromaquia, esta no debería hacerlo solo desde el punto de vista del aficionado a las corridas de toros, sino también desde los que ven en esta práctica un maltrato violento de un animal acorralado e inocente. Si así fuera, el Museo Taurino de Córdoba sería de interés general y proyectaría una imagen de tolerancia como candidata a CIUDAD EUROPEA DE LA CULTURA 2016, ya que podría ser visitado no solo por el cada vez más reducido número de aficionados a los toros, sino también por el creciente número de personas que consideran la fiesta como un acto injustificable de maltrato a los animales, e incluso también por las personas indiferentes al mundo taurino.
SOLICITO:
Que se incorporen una serie de salas en las que las sociedades protectoras de los animales expongan los motivos por lo que consideran que la práctica taurina es una tortura cruel contra un animal inocente, ya que este mamífero posee un sistema nervioso tan desarrollado como el nuestro en cuanto a capacidad para sentir dolor físico.
"Vous ne savez plus quoi faire de votre pitié ? Vous êtes las de la Tchétchénie, de l’Irak, du Darfour ? Les enfants qui crèvent de faim ou meurent sous les bombes, le soir à la télévision, finissent par vous laisser froids ? Alors, faites comme ces « people » en mal de moralisme compassionnel, investissez vos sentiments « humanitaires » dans le dernier cri de l’apitoiement. Non plus les bébés phoques…" F. W.
"Les animaux ont besoin d'aide. Notre coeur est tourné vers la Tchétchénie, l’Irak, le Darfour. Nous sommes profondément attristés que des enfants meurent de faim, ou sous des bombes, que nous voyons aussi parfois le soir, à la télévision." G.M.
"Nous sommes ces « people » également sensibles à la souffrance des bébés phoques, et nous avons effectivement de la peine pour ce que subissent les taureaux de combat, toros bravos.
Voir le film "Alinéa 3", de Jérôme Lescure, extrait sur le site :
http://www.tribunal-animal.com/operations_speciales/spot_crac.htm . G.M.
"Non, vous ne devinerez jamais : aujourd’hui, c’est les taureaux de combat (toros bravos). Oui, c’est le dernier sophisme à la mode : si l’on interdisait les corridas, il y aurait moins de souffrances sur terre ! Restons sérieux. Il est probable que, parmi les gens hostiles à la corrida, nombreux sont les personnes sensibles qui croient sincèrement qu’une corrida est un spectacle cruel dans lequel on se plaît à tourmenter de pauvres bêtes. Respectons leur sensibilité. Mais demandons-leur aussi de respecter celle de tous ces peuples du Sud, de Nîmes à Bayonne, de Béziers à Dax, d’Arles à Mont-de-Marsan, qui ont fait de la tauromachie une part essentielle de leur culture, et qui ne sont pas (que l’on sache) moins sensibles à la souffrance que les autres." F.W.
"Comme les humains, si les taureaux pouvaient vivre pleinement tranquillement, il y aurait plus de bonheur sur terre. Cette sensibilité est partagée par 80% des français et par exemple, par 100% des taureaux."
Nous respectons tous les peuples du Sud, de Nîmes à Bayonne, de Béziers à Dax, d’Arles à Mont-de-Marsan, puisque nous respectons tous les peuples.
Peut-on respecter une culture comme on respecte les animaux ?" G.M.
"Et ne nous lassons pas d’expliquer ce qu’est la corrida, sa grandeur, ses valeurs, sa beauté. Rappelons ce que sont les taureaux de combat : des bêtes d’une race particulière, jouissant des plus enviables conditions de vie et élevées en toute liberté afin de préserver leur combativité naturelle. Rappelons que toute souffrance n’est pas douleur, que la vraie souffrance pour un chien, c’est la « liberté » due à la perte de son maître, que, pour un animal sauvage, c’est la contention (le loup de la fable souffrirait dans la niche du chien) et que,pour un taureau sauvage, c’est plutôt celle qui est due au stress qu’aux blessures de l’arène, celles-ci libérant au contraire son agressivité. On dira peut-être qu’il est « malsain » d’assister à ce spectacle. On change alors de plan : ce n’est plus le taureau qui est en cause, c’est l’homme. Mais avez-vous entendu parler de violence autour des arènes comme il y en a autour des stades ? Connaissez-vous un aficionado, je dis bien un seul, capable de battre son chien ?
"La destinée d'un taureau est-elle la liberté, la vie et le bien-être?
La combativité naturelle du taureau peut être préservée, pour lui-même.
C'est en effet un beau spectable de voir un animal vivre avec les siens.
Il est vrai qu'un chien aime son maître, et que les animaux sauvages aiment la liberté.
Nous cherchons à vivre en paix.
Nous souhaitons que les taureaux soient respectés comme le sont les chiens de compagnie." G.M.
"Pensez-vous sincèrement que Picasso, dont une part essentielle de l’oeuvre s’inspire de la plastique du combat du toro et de l’esthétique de la corrida, était un « monstre assoiffé de sang » ? Croyez-vous qu’Eisenstein, passionné de corridas et hanté par sa mythologie, était indifférent à la souffrance ? Pensez-vous vraiment que Lorca, Hemingway, Leiris, Bataille, Cocteau se plaisaient à voir mourir des bêtes ? Non, ils aimaient, ils admiraient la bravoure du taureau qui combat, ils s’émerveillaient d’une éthique qui se résume au slogan de la Pasionaria : « Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux. » Oui, ayons pitié, sans doute : c’est essentiel à la communauté et constitutif de l’humanité. Mais sachons discerner les objets de notre compassion. Et prenons garde à cette idéologie « animaliste » anglo-saxonne qui nous menace et dont l’aveuglement et la violence font déjà des ravages ici ou là. Aujourd’hui, ils s’en prennent à la corrida et à la chasse. Demain, ce sera la pêche à la ligne (c’est déjà à leur programme). Alors, dans ce « meilleur des mondes » qu’ils nous préparent, dans lequel ni le sang ni la mort ne pourront plus se voir (sinon dans l’obscurité feutrée des mouroirs ou le silence des abattoirs), quand le foie gras et les huîtres ne seront plus qu’un souvenir de ce monde trop cruel où nous vivons, quand le végétarisme sera obligatoire et les chaussures de cuir interdites, alors il sera temps d’envisager d’interdire aussi la corrida et d’envoyer directement et définitivement tous les taureaux sauvages à l’équarrissage pour leur éviter de mourir au combat. Mais pas avant." F.W.
Des personnes risquent ou donnent leur propre vie, pour sauver celles des autres, pour nous sauver. Ces personnes sont des héros.
Nous pouvons parfois réunir les avantages de deux propositions (de la Pasionaria?), en une troisième et ainsi choisir de : "Vivre débout" !
La pitié est une part de certain(e)s d'entre nous. D'autres préfère parler d'"aimer son prochain comme soi-même", et qu'un animal pourrait être considéré comme le "prochain" de l'humain.
D'autres gens encore, utilisent le terme de "compassion".
Nous aimons la vie et les êtres vivants.
Comme nous aimons les animaux, nous cherchons donc à les aider, les défendre, les protéger.
Nous pouvons d'ailleurs garder à l'esprit que les animaux sont des êtres sensibles, ce que le Code Rural reconnaît depuis 1976 par l'article L214. (voir plus bas "lois Europe, les animaux sont des êtres "sentants")
Dans le monde que nous contribuons à faire grandir, les médecins soignent les humains, et les vétérinaires les animaux.
Nous protégeons les animaux, tant les espèces que les individus.
Nous aimons que les oiseaux puissent gagner le ciel, les dauphins la mer...
Le végétarisme est possible pour être en bonne santé, avec certe un réapprentissage de la nutrition, et les conseils des médecins compétents en cette matière.
Nos civilisations sont évoluées pour fabriquer des vêtements et des chaussures en respectant la vie des animaux.
Des personnes, des associations, des autorités dépensent du temps, du travail, de l'énergie, de l'argent pour aider les animaux.
Heureusement qu'existent déjà les parcs régionaux et nationaux.
Ils accueilleront peut-être un jour les taureaux sauvages, et toutes les espèces pourront être préservées.
Nous espérons que les lois pour le bien être des animaux seront enfin pleinement respectées et suffisantes.
Nous cherchons d'ailleurs à comprendre pourquoi, lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée, le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, n'est pas applicable aux courses de taureaux dans les dispositions de l'article 521-1 du code pénal français.
http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnArticleDeCode?commun=CPENAL&art=521-1
En vous remerciant, Monsieur le Professeur au département de philosophie de l’École normale supérieure de Paris, et en remerciant également les près de six cents personnalités, célébrités, politiciens, artistes, Elu(e)s... qui partagent notre éthique :
http://www.anticorrida.com/html/soutiens/manifeste040707.pdf
Nous vous prions d'agréer l'expression de nos sentiments les plus respectueux.
Guy
à lire sur http://www.unanimus.fr/lois-europe.htm
Le Traité de Rome, signé en 1957 par les principaux pays européens n'a pas pris en compte les animaux. Le 10 Novembre 1997, le Traité d'Amsterdam est venu amender le Traité sur l'Union Européenne et a inclus un protocole sur le bien-être des animaux. L'ensemble est devenu effectif le 1er Mai 1999. Le protocole animal est une avancée majeure car c'est la première fois dans la loi européenne que l'animal y est reconnu comme un "être sentant" "sentient being" en anglais au sens propre "éprouvant", "ressentant", donc sensible, "capable de ressentir la peine et la souffrance, d'expérimenter un bien-être" (ou un mal être). Par conséquent, l'humain véritable sera celui qui n'abusera pas de sa position de force pour provoquer des souffrances chez tous les êtres "sentants" mais au contraire fera ce qui est en son pouvoir pour les leur éviter.
http://www.eurogroupanimalwelfare.org/legislation/legislation.htm
A ce jour, je ne regrette pas de n'avoir pas terminé mes études de philosophie... Je préfère de loin avoir troqué mes cours de pensée désséchée contre mon moralisme compassionnel et mon animalesque humanité qui font de moi cette affLicionada que je serai toujours. Voltaire a dit "je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez le dire." Toros bravos, ce que vous vivez crie si fort que je n'entends pas ce que disent les obscurantistos retrogrados. Toros bravos, je me battrai toujours pour que vous puissiez dire ce que vous ne pouvez pas dire aux lâches qui vous assassinent.
A travers le calendrier de l'association composé de douze photographies présentant les personnalités qui nous soutiennent, l’Alliance Anticorrida joint l’utile à l’agréable.
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B.P. 85 - 30009 NIMES cedex 4 - Tél. & fax : 04 66 64 22 97
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