
Depuis le 6 Janvier 2013.
DIFFUSION MAXI SVP. MERCI.
Notre beau Scooby est perdu dans le bois de Vincennes. Percuté par un deux roues hier 6 Janvier 2013, il a pris peur et a filé. Gérard, son maître, est effondré. Il le cherche dans le bois depuis hier avec Zuko, son autre galgo.
DIFFUSION MAXI SVP et si vous êtes à Paris RP merci de contacter Gérard pour aider à placer des affiches.
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Reçu ce jour de Ecopatrie
Des animaux laissés pour compte dans la tourmente économique espagnole :
Aidons à les sauver !
Des animaux prisonniers politiques*, ça existe !
Ça se passe sur la Costa Tropical (Costa del Sol) en faillite
*Prisonniers de la mégalomanie d'un homme politique...
On ne peut pas les abandonner dans de telles situations :
Un hippopotame dans une baignoire sur une montagne andalouse !
Des dromadaires tributaires d'une crête rocheuse !
Des chevaux de Przewalski de la steppe mongole et des bisons des grandes plaines agrippés à un flanc abrupt !
Des wallabies coincés au fond d'un ravin !
Des porcs-épics sur du ciment brut !
Des loups blancs de l'Arctique en plein soleil méditerranéen !
Des ours devenus fous dans des culs de basse fosse !
Etc.
Telles sont quelques-unes des espèces en souffrance et oubliées au sein d’un parc zoologique en déconfiture au bout de l’Europe, celui de la Peña Escrita (Almuñecar, Espagne) : http://www.pescrita.es
Quels conseillers scientifiques ont bien pu présider à de telles horreurs ? À quoi servent les zoologistes écocrates ? À entériner les pires folies des petits magnats de la politique ?
Le pouvoir rend dingue, parfois même fou à lier et aux dépends ruineux de ceux qui les ont démocratiquement élus et qui leur ont confiés la caisse. L'observation vaut pour tous les pouvoirs, du président d'une Chine à un chef de rayon en passant par le maire d'un village sans prétention. Ce fut le cas de Juan Carlos Benavides, ancien maire d'Almuñecar, ville andalouse littorale de la Province espagnole de Grenade, où les revenus du tourisme de masse et de la production de fruits subtropicaux pouvaient monter à la tête et favoriser les pires égarements.
D'une telle fièvre naquit en 1997 le plus étrange et incongru parc animalier qui soit, érigé au sommet d'une montagne aride et d'accès quasi impossible, projet hasardeux qui fut réalisé à grand prix, ruine économique dont a maintenant hérité la nouvelle équipe municipale.
Ce projet, tout aussi imbécile que faramineux, coûta 30 millions d'euros, auxquels il faut ajouter les pertes annuelles de plusieurs centaines de milliers d'euros survenues depuis l’inauguration du fiasco.
Trop drôle : le maire initiateur reçu en 2010 un prix national de l'environnement, sans doute pour avoir installé un hippopotame dans un cloaque putride, des loups arctiques en pleine canicule et fait cohabiter des dromadaires sahariens et des lamas andins sur la pente vive d'une montagne squelettique !
Des douze employés nécessaires au fonctionnement du parc, deux seuls sont encore en fonction et font ce qu’ils peuvent avec de moins en moins de moyens.
Ça et là annoncé pompeusement comme parc écologique, réserve zoologique, paysage naturelle, refuge de biodiversité et autres appellations relevant du markéting vert mensonger, le parc animalier de la Peña Escrita n'est qu'une piètre ménagerie inhospitalière et perchée en haut d’un massif rocheux, où les détenus, pour la plupart déportés de lointains horizons, grillent en tournant en rond sous les ardeurs du soleil andalou.
On sait que dans les années 1980, l'Espagne promulgua un panel extrémiste et surréaliste de règlementations concernant la conservation de la Nature (telle la loi 4/1989 du 27 mars interdisant de tuer un diptère sans autorisation préalable, marrant au pays de la corrida !), mais qui n’a nullement freiné la propension du pays à tout détruire inexorablement, et ce, pour cause de développement jusqu'à l'explosion toute récente de la bulle économico-immobilière qui fait qu'on a saccagé pour rien. Enfin, pas pour rien, mais pour le plus grand profit de certains. Soit dit en passant, la dite conservation ne fut qu'à dessein environnementaliste, le respect et la protection animales demeurant la dernière roue de la charrette anthropocentriste. Comme partout, l'esprit n'est pas l'écocentrisme, peu s'en faut.
Dans un tel délire, on ne se demande pas comment un tel projet abracadabrantesque a pu bénéficier des autorisations d'ouverture... Depuis, suite aux plaintes de groupes écologistes et aux contrôles de la Délégation régionale de l'environnement, la nouvelle municipalité doit faire face à des procès et des contraventions relatives aux infractions de détention, concernant entre autres une vingtaine d'enclos inappropriés, le tout agrémenté d'une menace de fermeture, laquelle ne résoudra nullement le cas des loups blancs, des tigres de Sibérie et des chevaux de Przewalski dont, apparemment, personne ne veut.
Aujourd'hui que la carence en fréquentation a démotivé l'esprit de l'entreprise jusqu'à induire l'accès gratuit au profit des trois derniers visiteurs en mal d'incohérences récréatives, cette prison zoologique surréaliste coûte annuellement quelque 350.000 euros d'entretien à la commune, et donc aux citoyens.
IL FAUT SAUVER CES ANIMAUX !
Dans un souci pratique d'une liquidation respectueuse, trois groupes d'animaux peuvent être distingués :
· Ceux que l'on pourrait relâcher de suite et sans hésiter car les conditions naturelles des alentours très sauvages de la Sierra de Almijara pourraient assurer leur survie. Il s'agit, par exemple, de rapaces locaux encagés (Grand duc, faucon pèlerin...), des loups ibériques, des lynx, des bouquetins d'Espagne et de quelques autres. Pourquoi laisser des loups et les sangliers tourner inlassablement en rond dans leurs misérables enclos alors que leur liberté n’est qu’à deux pas ?
· Ceux qu'il semble aisé à céder pour qu'ils continuent leur pauvre vie en de meilleures conditions, comme les dromadaires, les lamas, les autruches, les émeus, les nandous, des wallabies, les porcs-épics et bien d'autres...
· Ceux enfin qu'on ne peut relâcher, tant pour des raisons bioclimatiques que légales : ils sont protégés par des lois nationales et les conventions internationales d'usages, notamment de Berne et de Washington (CITES), et ne peuvent être (normalement) ni vendus, ni euthanasiés, seulement cédés à d'autres parcs ou à des sanctuaires. On se demande d'ailleurs ce qu'il adviendra quand la municipalité n'aura plus les moyens de veiller sur leur sort et de les nourrir ! Il s'agit notamment des tigres de Sibérie, des lions, des hyènes, des ours bruns, des bisons, des chevaux de Przewalski, des loups blancs de l'Arctique, de l'hippopotame, des buses de Harris... Il s'agit notamment des tigres de Sibérie, des lions, des hyènes, des ours bruns, des bisons, des chevaux de Przewalski, des loups blancs de l'Arctique, de l'hippopotame, des buses de Harris...
Pourquoi séquestrer plus longtemps ces buses de Harris qui se jettent désespérément sur les grilles de leur trop petite volière, ces chevaux de Mongolie et ces bisons en état de prostration dans le recoin d’un biotope inadapté, cet hippopotame âme en peine, ces félins et ces ours atteints de ce balancement répétitif, cri silencieux que les spécialistes nomment justement “tic de l’ours” ? Pour la joie de visiteurs qu’on attend en vain depuis 15 ans et qui ne viendront pas ? Notre société vénale passe sur la souffrance animale lorsqu’elle est rentable, c’est immonde ; mais lorsqu’elle est gratuite : ça devient pur sadisme et c’est deux fois immonde.
C'est surtout pour le destin des espèces de cette dernière catégorie et dont le statut de protection rend difficile la gestion que nous lançons cette alerte de la dernière chance.
Bien qu'en bon état physique et correctement nourris, ces animaux souffrent gravement et depuis trop longtemps de leurs conditions de captivité totalement contre-nature, dans des habitats écologiquement inadéquats à leur éthologie et à leurs dotations anatomiques, ce qui est en grave contravention avec certaines clauses principielles de la réglementation européenne des parcs animaliers (directive 1999/22/CE du 29 mars) et la loi espagnole sur la conservation des espèces sauvages dans les zoos (loi 31/2003 du 27 octobre), laquelle énonce expressément : a) Que le logement des animaux doit se faire dans des conditions qui permettent la satisfaction de leurs besoins biologiques ; b) Qu'il faut s'assurer que les installations se situent dans un environnement idoine afin de diversifier les modes de comportement propres aux espèces pour interagir avec leur environnement, garantir l'amélioration de leur bien-être, donc leur capacité de survie et de reproduction. Ces obligations (et bien d'autres) ne sont absolument pas respectées au sein du Parc zoologique de la Peña Escrita
Nous vous serions reconnaissants de faire un maximum de buzz pour trouver à reloger ces animaux. Diffusez cette alerte, partagez-la sur les réseaux sociaux, communiquez, contactez toutes les filières concernées, tous les grands refuges, les sanctuaires, les parcs européens susceptibles d'accueillir ces animaux dans les meilleures conditions possibles. Ce doit être envisageable, non ? Puisqu'en ce monde tout est comptable, il semblerait s'agir d'une bonne affaire puisqu'il n'y aurait que les frais de transport à décaisser pour qu'un parc de semi-liberté puisse profiter de ces représentants d'espèces de valeur. En Espagne, bien peu de zoos se sont montrés intéressés, le dernier fut celui de Jerez (Cadix) où finit ses jours un tigre blanc transfuge de la Peña Escrita et celui de Madrid ayant accepté les zèbres qui ont ainsi pu quitter le pic montagneux où un projet démoniaque les avait "immobilisés en liberté”!
Pour tout renseignement, liste et fiches précises des animaux, et, espérons-le des solutions au cas par cas, merci de nous contacter. Nous transmettrons à Madame Trinidad Herrera, la nouvelle mairesse de la ville d'Almuñecar et à Monsieur Luis Aragón, conseiller municipal chargé de l'environnement.
Le souhait légitime de l'actuelle municipalité est de pouvoir se débarrasser des animaux dont la présence est ici illogique et de parvenir à privatiser le parc tout en le recyclant dans la stricte faune locale.
À toutes et à tous qui avez du cœur : merci pour votre contribution. La moindre piste peut être précieuse.
Frédérique Courtin & Michel Tarrier
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