Les matins espagnols sont des chiens énormément maltraités en Espagne ... on se souvient de Regina (croisée matin probablement), on se souvient de Roden et de cette matine totalement traumatisée d'avoir eu à manger des cadavres pour survivre et maintenant le cas de ce matin qui n'aura eu le temps d'avoir un nom que post mortem mais qui avait trouvé de son vivant , lui et sa compagne d'infortune, une maison d'accueil et ce avant qu'un vétérinaire peu enclin à vouloir les sauver sera plus rapide pour répondre à un ordre d'abbatage sans sommation .... qui a donné cet ordre? .... probablement la municipalité elle-même pour complaire à des habitants arriérés
Une histoire qui commence à faire grand bruit dans le milieu des défenseurs espagnols des animaux. Le Collège de Vétérinaires de Cordoba sera contacté qui dira que pour qu'il y ait enquête de leur part il faudrait qu'ils reçoivent de nombreux courriers personnels se présentant comme autant de pétitions individuelles ... un risque pour ce vétérinaire de se voir déchu de sa profession (peut-on y croire?), en tout cas c'est ce que demande l'ensemble des intervenants choqués par une telle attitude peu professionnelle
Un courrier est en circulation adressé au maire de la commune de Aguilar de la Frontera-Cordoba et qui sera envoyé avec la liste de signataires mais je voudrais saluer le courage d'un conseiller du PSC-PSOE d'une Municipalité de la province de Barcelone décrétée anti-taurine et qui a envoyé et fait circuler son propre courrier adressé d'une part au maire de la commune où ces deux chiens ont été exécutés et également un courrier au Collège de Vétérinaires de Cordoba. Vous pouvez lire ces deux courriers sur le blog personnel de Carles Marco Morellon , une démarche qu'il a rendu ainsi publique et on l'en remercie
D. Francisco Paniagua Molina,
Me dirijo a usted en referencia a la problemática que existe en su pueblo respecto a la “no protección” de los perros y gatos callejeros.
Deseo manifestar mi indignación y repulsa ante los hechos cometidos el pasado viernes 27 de Marzo por el veterinario contratado por vuestro ayuntamiento para el exterminio de los animales abandonados en Aguilar de la Frontera.
Tenemos constancia de un perro abandonado cruce de mastín, al que algún desalmado le había abierto la cabeza e intentado ahorcar.
Automáticamente personas que abogan por la defensa y la protección de los animales, se unieron para intentar coger al can, curarle su tremenda herida y llevarle a una casa de acogida donde se recuperaría de tanto maltrato para su posterior adopción.
Una de estas personas se puso en contacto con este veterinario solicitanto ayuda para intentar rescatar al perro, cosa a la que él se negó.
Asímismo se le informó de las intenciones que se tenían para con el perro, todas ellas de buena voluntad y a favor de la vida.
La respuesta del mismo fue darle de plazo hasta el día siguiente, 28, caso contrario procedería a su sacrificio.
Sin embargo, horas más tarde de esta conversación, el mismo viernes 27, el citado veterinario captura de la calle al perro y a su acompañante, perrita cachorra completamente sana y los sacrifica a los dos, dejándonos a todos aquellos que seguimos este caso, desde distintos puntos de España, y a los voluntarios que habían movido hilos para el rescate, boquiabiertos.
Solicitamos que se revise la legalidad de la clínica veterinaria, así como la posesión de título para ejercer la profesión de este individuo, ya que rompe con todo código ético de cualquier facultativo en veterinaria.
Solicitamos también que se investigue y persiga cualquier maltrato animal que se cometa en Aguilar de la Frontera, donde tenemos conocimiento, es bastante.
Como usted dice, la hospitalidad es la palabra que define su ciudad, sin embargo yo no me sentiría bienvenida en un lugar en el que no se respeta la vida de los más débiles: los animales.
Esperando que se tomen las medidas oportunas para que estos hechos no se vuelvan a repetir, le saluda atentamente:
Nom
Prénom
Ville/Pays
N° de carte d'identité
AGUILAR DE LA FRONTERA
VILLE D'ABANDON, DE DESESPERANCE ET DE MORT
Après avoir tenté de m'assassiner en m'ouvrant le crâne et de me pendre, la Municipalité paiera un vétérinaire pour que, faisant valoir qu'il n'y avait aucun secours prévu pour moi, on en finisse de ma vie.
A aucun moment on ne me portera de soins vétérinaires comme le stipule pourtant le point n°4 de l'article 28 de la loi 11/2003 du 24 novembre concernant les animaux abandonnés et perdus rapport à la loi de protection animale approuvée par le Parlement d'Andalousie
J'avais un endroit sûr où on devait me soigner, des personnes de coeur avaient tout préparé pour me sortir de la rue, soigner mes blessures et surtout mon âme....
Et pourtant le vétérinaire "Chuchos" sous contrat avec la Municipalité de Aguilar de la Frontera nous assassinera moi et ma petite compagne également abandonnée
Ils nous assassineront sachant pourtant que des défenseurs des animaux allaient nous sortir de la rue. J'avais une maison d'accueil qui m'attendait ...
JE SUIS PARTI SANS SAVOIR CE QUE C'ETAIT QU'ETRE AIME
Ce village est plein d'abandon, de torture et de mort
Moi je suis mort mais je ne veux pas que ceux qui suivront derrière moi meurent également
DENONCE !!! PLAINTE !!!
NOUS SOMMES TOUS DES PANCHOS
N'oublie pas mon regard ...
DEMANDE JUSTICE !!!