Quand un chien ou un chat est abandonné par ses maîtres irresponsables, c'est-à-dire jetés de la maison à laquelle ils pensait appartenir, chassé par ceux qu'il aimait et à qui il avait offert sa loyauté inconditionnelle, il arrive alors quelque chose de terriblement injuste et cruel : IL EST CONDAMNE A MOURIR

Il paie de sa vie l'irresponsabilité de ceux qui l'abandonneront

Dans les perreras municipales on euthanasie les animaux abandonnés dix jours après qu'ils aient été recueillis

POURQUOI PUNIT-ON LA VICTIME?

POURQUOI LES MUNICIPALITES GASPILLENT  NOTRE ARGENT DANS LE FINANCEMENT DE PERRERAS MUNICIPALES QUI EUTHANASIENT LES ANIMAUX ABANDONNES?

A partir d'une analyse éthique et pratique, il apparait inadmissible de légaliser la mort alors qu'il existe des méthodes efficaces pour éviter la procrétion. Avant de les tuer; il serait plus approprié d'éviter qu'ils naissent. La seule méthode pour freiner la surpopulation reste la prévention par la stérilisation

En réalité la mort agit uniquement en tant que conséquence du problème mais n'agit pas sur les causes. La mise à mort n'offre qu'une solution arythmétique au problème de surpopulation animale: chaque animal euthanasié ne réduit la population que d'un spécimen. Mais un chien et un chat se reproduisent géométriquement

Par cette méthode, pendant que d'un côté on tue les animaux abandonnés, les animaux (avec ou sans maîtres) proportionnellement continuent d'augmenter en nombre. Et ainsi, quand l'euthanasie est choisie pour méthode pour contrôler la population animale, il en résulte un puit sans fond

Ces municipalités qui ont adopté l'euthanasie comme contrôle de la population animale, non seulement ont vu augmenter d'année en année la quantité d'animaux abandonnés mais egélement la facture destinée à résoudre le problème. Nous devons utiliser avec rationnalité les fonds publics

C'est notre travail à tous de trouver des solutions efficaces et alternatives à l'euthanasie pour enfin se dire une société progressiste qui traite ses animaux avec le respect qui leur est du

Ces petits marchés solidaires sont importants pour les refuges: ils y proposent des articles en vente, autant de cadeaux à offrir dans son entourage et qui aideront à remplir les caisses de ces petits refuges qui ont tant de mal à faire face toute l'année

samedi 12 décembre de 12H à 18H à MADRID

malagahoy.es

Les galgos sont la clé de la réussite d'une partie de chasse. Mais quand ces derniers ne sont plus opérationneles ils le paient de leur vie. Chaque année des milliers d'entre eux sont assassinés ou abandonnés pendant et après la saison de chasse. Des animaux que l'on exploite, jette et produit en tels nombres qu'ils sont devenus "objets" d'une barbarie effrénée

Tous seront pendus après une mauvaise chasse ou jetés dans un puit ou blessés d'un coup de fusil punitif et dans le meilleur des cas abandonnés à leur triste sort. Il est évident que les cas répertoriés les plus nombreux se trouvent être dans les provinces à forte concentration de chasseurs

L'associacion Galgos sin Fronteras affirmera que pour les éleveurs seul compte les critères qui feront du galgo un bon élément c'est dire que sur 100 galgos issus d'un élevage, un seul sera l'élu, les autres seront ou abandonnés ou assassinés .... pas de bouches inutiles à nourrir.

Un traitement de faveur en fin de compte pour ceux-là, un traitement certainement moins pires que les hordes de galgos "inutiles" qui finissent leurs jours oubliés dans des trous sans lumière, sans air, sans nourriture, sans eau et qui pour les rares fois où ils seront utilisés au cours d'une chasse se verront en plus battus parce qu'incapables de poursuivre un lièvre. Des galgos qui finiront en perreras pour certains alors qu'ils n'ont plus que la peau et les os comme cette galga en photo récupérée ces jours ci d'une perrera

Que fait l'Europe?

Et comme les mauvaises nouvelles ne viennent jamais seules, on apprend maintenant que les chasseurs ont luz verde - feu vert pour chasser avec leur permis sur TOUT le territoire national .....

adn.es

..... une initiative qui facilitera bien des choses en réduisant considérablement les démarches administratives mais pire encore ..... souvenez-vous de ce que je vous disais  hier concernant les puces d'identification  ....

FEPAEX : UN GRAND PAS POUR L'EXTREMADURA, UN PETIT PAS POUR LES ANIMAUX MAIS ...

Cela veut dire tout simplement que les galgueros et autres chasseurs vont avoir maintenant une grande mobilité d'une Communauté à une autre sachant que les galgos et autres chiens de chasse eux aussi passeront d'une Communauté à une autre, le problème étant que les puces n'étant répertoriées que dans la Communauté dans laquelle réside le galguero, ce dernier pourra abandonner son galgo dans la Communauté voisine sans que personne n'y trouve à redire et ce même avec une puce d'identification ... même plus la peine de la lui extorquer au couteau!