21 novembre 2013
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Souvenez-vous de cette affaire datant de janvier 2012 (voir plus bas)
La situation à ce jour:
La municipalité de Montcada i Reixac ajoutée au Ministère régional de l’Agriculture ont verbalisé le chasseur de trois amendes pour un total de 19.000 euros. De plus on lui impose 5 années d inhabilitation à posséder des animaux. De tels cas sont loin d’être isolés comme l’explique la spécialiste juridique qui dénonce le fait que bien d’autres chasseurs continuent de maintenir leurs chiens dans des conditions affreuses, reclus dans des trous misérables, immondes avec des blessures infectées entraînant la mort.
Les associations et refuges se heurtent tout au long de l’année à de telles situations face à des chiens qui vivent toute l’année avec un minimum de nourriture, attachés court et se mourant de peine et de douleur. La plupart sont des chiens de sangliers.
PUBLIE LE 4/01/2012
La vidéo illustrant les faits relatés ci-dessous
Tous les chiens, une trentaine au total, ont été déplacés vers divers refuges. Les voyages ont été pris en charge gracieusement par l'entreprise spécialisée dans les transports d'animaux de compagnie TravelDog Sur la vidéo apparaît le charnier où l'on retrouvera les cadavres en putréfaction de plus de 50 chiens qui, arrivant blessés de la chasse au sanglier,
terminaient leur voyage ici.
PUBLIE LE 28/12/2011
La maltraitance des chiens de chasse ne se limite pas au sud de l'Espagne tout comme elle ne se limite pas à l'Espagne tout court.
L'affaire a eu lieu das la commpune de Montcada i Reixac où ont été découvert 50 cadavres de chiens dont certains, morts depuis 6 mois, étaient recouvert de sacs poubelles. Le suspect expliquera lui-même à la porte parole de Asociacion Animal Rescue qu'il étranglait tous ses chiens revenus blessés de la chasse ou trop vieux pour servir davantage.
Le pire étant que près d'un secteur de jardins potager appartenant au suspect quelques autres 30 chiens ont été découverts, vivants ceux-là, mais dans des conditions terribles, certains présentant des blessures graves et bien sûr aucune identification.
Le chasseur s'expose à une condamnation pénale qui pourrait aller jusqu'à un an de prison et interdiction de détenir d'autres animaux pendant 5 ans. Il pourrait également encourir une amende de quelques 20.000 euros pour ne pas avoir présenté les autorisations requises lui permettant de détenir autant de chiens dans des conditions tolérables.
Malheureusement de tels cas ne sont pas des cas isolés et plus de 60% des chiens entrant dans les perreras espagnoles appartiennent à des chasseurs. La Fondation Altarriba et Animal Rescue attestent recevoir une moyenne de 7 dénonces par semaine et ont en ce moment même quelques 600 animaux hébergés chez eux.
Published by LN Verdier
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