Et comme je vous le disais récemment sur l'article de Fidelidad ....
..... rien de plus facile pour eux que de retourner à leur cause n'importe quel journaliste et bien sûr n'importe quel député européen qui se questionnerait sur les 50.000 galgos qui, chaque année, meurent de la manière la plus violente ....
"Comment, nous! ... nous, nous maltraiterions les galgos? Venez donc à une de nos "sauteries" de galgueros et vous verrez comme nos galgos sont aimés, choyés et soignés. regardez-les, comme ils sont superbes! Vous voyez des galgos maltraités parmi eux? Ce ne sont pas les galgueros qui maltraitent les galgos, ils les aiment bien trop ... non .... ce sont les autres, ceux qui nous les volent, les gitans ou les ignares qui les maintiennent comme de vulgaires chiens de chasse mais nous, les maltraiter ??? Grand Dieu non!"
Voilà comment le journaliste Antonio Perez Henares a été conquis par ces galgueros, autour d'une bonne bouffe! et maintenant de clamer haut et fort à tous ces galgueros qu'il admire du plus profond de lui même:
sous entendu .... défendez-vous
Inutile de vous dire que les commentaires vont bon train sous cet article venant des protecteurs espagnols d'animaux et de galgos en particulier car ce monsieur qui se prétend impartial ne tarie pas d'éloges quand il s'agit des galgueros allant jusqu'à en faire les pauvres persécutés de l'Espagne, des victimes et personne pour tenir compte des "arguments bétons" qu'ils présentent pour se défendre.
Ce journaliste à reçu un prix de la part du monde galgueros et quand on voit la publicité qu'il leur fait on n'est pas trop étonné, mais nous dirons pour sa défense que l'amour rend aveugle et de fait pour sûr, notre journaliste est totalement aveuglé
Dijeron que me daban el premio por defenderlos. Tan sólo he dicho algunas verdades. Como que la caza con galgo es la más pura y deportiva, no interviene el arma y muy poco, el hombre que apenas hace otra cosa que mirar, y sin ella no existiría la propia raza ; no puede imaginarse mayor atrocidad medioambiental que pretender su prohibición como se intentó incluso en la época de la “Talibán Narbona” cuando el ecologismo más intransigente dictaba las normas en el ministerio. Son los galgueros la caza de a pie, humilde y orgullosa, apasionada y exigente. Que se acordaran de mi es para estarles agradecido. Allí y se lo dije y hoy se lo reitero.
Ils ont dit qu'ils me donnaient un prix pour les défendre si bien. J'ai juste dit quelques vérités. Comme par exemple, que la chasse avec galgo et la plus pure et la plus sportive, sans utilisation d'arme ou très peu, avec l'homme qui ne fait, tout juste, que regarder, et sans cette chasse cette race n'existerait plus. On ne peut pas imaginer plus grande atrocité environnementale que prétendre à l'interdiction comme cela a été tenté à l'époque de la "Taliban Narbona" quand l'écologisme le plus intransigeant dictait les normes ministérielle. Les galguerso sont ceux de la chasse à pied, humble et orgueilleuse, passionnée et exigente. S'ils se souviennent de moi c'est par la reconnaissance que j'ai pour eux. C'est ainsi que je le leur ai dit et que je réaffirme aujourd'hui"
C'est sûr ça décoiffe une telle admiration et ça s'entretient par un prix .... mais à quel prix exactement?
L'article ne s'arrête pas là notre journaliste le clame haut et fort aux galgueros "défendez-vous!", par tous les moyens médiatiques, défendez-vous!
Personnellement je pense qu'un homme averti en vaut deux et que compte tenu du contexte et de la stratégie que semble préparer le monde galguero, il serait temps que les défenseurs des galgos préparent la leur car après la sphère médiatique, les galgueros pourraient bien se tourner vers les politiques et les retourner eux aussi comme des crêpes juste avec une "sauterie", un prix et quelques beaux spécimens de galgos au poil brillant, à l'oeil vif, à la musculature parfaite ..... vous savez .... un peu comme Fidelidad avant que son galguero ne tente de la trucider.
A propos, qui sait ..... peut-être que Fidelidad était de cette sauterie avant que la malchance ne fasse d'elle une perdante victime de la loi du galguero "tu m'as trahi, tu dois le payer"
Les galgueros commencent à avoir peur de l'Europe
Traduit et commenté par
M-Helene Verdier
Trésorière et co-fondatrice de GEE