15 août 2011
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Un geste symbolique pour dire BASTA-ASSEZ aux corridas de taureaux.
Un geste que le Dalaï Lama, dans son respect à toute vie sur cette terre aura bien compris.
On ne peut pas en dire autant de certains vétérinaires espagnols qui ont décidé de faire du taureau de combat un extra terrestre dont la souffrance dans l'arène ne serait pas aussi grande que ce que l'on veut bien prétendre.
Une théorie fumeuse reprise notamment par nos taurins bien franchouillard, théorie selon laquelle les taureaux dans l'arène libèrent 10 fois plus de bétaendorphines, plus connues sous le nom d'hormones du plaisir, et qui bloqueraient les récepteurs de douleur et les amèneraient à la situation de douleur zéro. Ce qui veut dire que le taureau de combat aurait un mécanisme spécial de contrôle de sa douleur
DOLOR CASI NULO
Pero, además, pensaron que si los toros tenían un mecanismo hormonal especial para controlar el estrés quizás también lo tuvieran para liberarse del dolor. Descubrieron que durante la lidia el toro libera 10 veces más betaendorfinas - conocidas como hormonas del placer- que un ser humano y siete veces más que durante el transporte. «La betaendorfina -explica Illera- bloquea los receptores del dolor hasta que llega un momento en que el dolor y el placer se equiparan y el sufrimiento puede llegar a ser casi nulo. Lo que queremos decir es que el toro bravo tiene un mecanismo especial para llegar a controlar su dolor. Cierto que lo siente, pero no es lo mismo un organismo que puede controlarlo y contrarrestarlo, hasta casi no sentir sufrimiento, que otro que no puede poner en funcionamiento este mecanismo».
Les antitaurins posent la question de savoir si les aficionados prennent
leur pied avec la corrida:
Les taurins font mieux, ils sont persuadés quant à eux que
le taureau s'éclate dans l'arène.
Published by LN Verdier
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dans
TAUROMACHIE