Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 19:35
 
 
RECU IL Y A PEU :
Merci à Christine pour la traduction de ce très long texte

ENFIN LE MOMENT EST VENU
 
Le Parti au pouvoir est conscient des difficultés qu’il aura à affronter s’il veut obtenir un nouveau mandat et il sait qu’il doit commencer à donner des réponses aux collectifs de citoyens qui, pour une raison ou une autre, ont été ignorés depuis le début de cette législature. Ils ont bien compris que s’ils veulent obtenir les 600 000 votes nécessaires pour pouvoir parler d’égal à égal avec le Parti Populaire, ils doivent commencer à exécuter leur promesses électorales et se tenir prêts à répondre aux aspirations de leurs électeurs.
 
Leire Pajin a déclaré, il y a quelques jours, dans une entrevue à la Télévision Publique, que son parti avait pris note des résultats des dernières élections européennes  et qu’ils vont prendre en compte ce que leurs électeurs ont voulu dire en ne se rendant pas aux urnes ou en modifiant leurs votes ; il a mentionné plusieurs groupes sociaux avec lesquels, selon ses dires, ils établirait des discussions pour la réalisation d’un agenda de travail du parti en vue des prochaines élections (il semble, heureusement, que cela inclue aussi les citoyens préoccupés par les questions relatives à l’environnement et aux animaux.)
 
La preuve en est donnée par le simple fait que l’on a obtenu le maintien d’une première réunion entre la Plateforme « des lois pour les animaux maintenant » et les personnes en charge  de l’Environnement  au sein de la commission Exécutive Fédérale du PSOE au siège de Ferraz à Madrid. Ont assisté à cette réunion, en plus des 5 représentants de la Plateforme, Hugo Moran, qui travaille au Secrétariat de l’environnement de la  commission Exécutive Fédérale et Alvaro Abril, coordonnateur pour l’Environnement.
 
Après une si longue attente, nous avons enfin la possibilité d’obtenir de substantielles avancées tant dans le domaine légal que dans le domaine pénal, et en aucun cas, nous  ne pouvons nous permettre d’échouer dans cette tentative car, comme nous le savons tous, ce sont de nombreuses vies et beaucoup de souffrance qui sont en jeu.
 
Nous avons besoin de récolter les fruits de nos efforts pour continuer « la Lutte » et pour cela nous devons faire table rase d’un passé inutile et  d’aspirations maximalistes qui mettent en péril l’obtention d’avancées apparemment insuffisantes mais nécessaires pour forger les bases d’un engagement animaliste réaliste dans ce pays ; il est indispensable d’arriver à des accords minimum et se donner des objectifs clairs et réalisables pour focaliser le projecteur dessus.
 
La diversité écologique est grande et se reflète dans les légitimes revendications de chacun des groupes qui composent le Mouvement de Libération Animale (anti-corridas, animaux de compagnie, animaux utilitaires, végétariens, etc). Mais il nous faut dépasser ces clivages pour nous retrouver sur des questions communes. N’importe lequel d’entre nous, ne sauterait-il pas de joie si les euthanasies sans réflexion étaient interdites dans les centres d’accueil des animaux abandonnés ? Ne nous féliciterions-nous pas si nous pouvions obtenir que le psychopathe de service soit emprisonné pour avoir lancé une chèvre ou une oie du haut d’un clocher ? Ne nous congratulerions-nous pas les uns les autres si les pauvres animaux d’élevage, que nous les mangions ou pas, soient à l’abri de leurs misérables conditions d’existence jusqu’au moment de leur sacrifice ? Les étapes intermédiaires sont nécessaires pour arriver à quelque chose, la politique du « tout » ou « rien » ne nous mènera nulle part.
 
Il faut admettre que nous participons tous à poursuivre ce chemin difficile que nous avons choisi de suivre. Tous les efforts réalisés sont cruciaux et indispensables et nous devons les percevoir comme tels. Nous avons besoin des  actions «coups de poing » réalisées par certaines associations pour attirer l’attention  des médias parce que c’est une façon de faire passer le message au plus profond de la société et provoquer ainsi le débat social nécessaire. Nous avons besoin des infatigables volontaires qui, malgré la souffrance et l’épuisement émotionnel qui vont de pair avec   l’assistance aux animaux dans la rue ou dans les fourrières, atténuent les souffrances  des victimes jusqu’à l’obtention de lois effectives ; nous avons besoin   des politiciens qui, loin des feux de la rampe, se chargent du patient travail de négocier dans l’ombre et qui ont le « self control » nécessaire pour s’asseoir face à un bourreau sans perdre leur calme, ils jouent un rôle essentiel ; nous avons besoin également de ceux qui se chargent de  la diffusion des messages et qui font le  nécessaire pour dynamiser la poursuite de la Lutte, nous avons besoin de ceux qui font des dons ou qui aident à leur manière. Nous avons en commun  bien plus de choses  que nous le pensons
 
Le moment est arrivé de réunir nos forces  et de donner le grand coup de pouce politique en appuyant la Plateforme «Enfin Des lois pour les animaux » face à des politiciens qui ont un grand besoin de notre bien le plus cher « à leurs yeux », je veux parler du bulletin de vote.
 
Le moment est arrivé pour les groupes  existant, quelque soit leur idéal, de s’unir dans ce grand projet qui, bien sûr, ne résoudra pas tous les problèmes, mais qui proposera un scénario sur lequel nous pourrons tous travailler d’une manière beaucoup plus performante que ce que nous avons réalisé jusqu’à maintenant.
 
Ci-dessous un courrier envoyé il y a quelques jours par la PLATAFORMA "LEYES ANIMALES YA"

Chers camarades animalistes, tous les jours sont diffusés des douzaines de messages en provenance de personnes animalistes terriblement angoissées et désespérées demandant de l’aide d’urgence pour l’un ou l’autre de ces milliers de cas terribles qu’elles ont eu la « malchance » de rencontrer.


De plus, compte tenu des lois actuelles, presque toutes les fourrières tuent les animaux si personne ne vient les chercher avant les délais. Et malgré tous nos efforts NOUS NE POUVONS PAS TOUS LES SAUVER, même pas une petite partie. Et toutes les personnes impliquées vivent une vie pleine de souffrances et d'amertumes, en arrivant même à avoir des problèmes professionnels ou familiaux
 NOUS NE POUVONS PAS CONTINUER DE CETTE FACON, parce que c’est comme essayer de vider la mer avec un seau et de plus nous nous épuiserions en essayant.

Et pendant ce temps es mairies et gouvernements autonomes se fichent pas mal du sujet, s’essuient les pieds sur notre sensibilité et considérent les animaux comme des ordures qu’il suffit de ramasser et s’en débarrasser dans les décharges ou les crématorium, en oubliant tout simplement le petit « détail » qu’il ne s’agit pas d’ordures mais d’êtres vivants qu’il faut au préalable assassiner de la manière la plus facile et la moins onéreuse.

Et en plus nous avons le très grand problème de la faune urbaine, chats et  pigeons qui sont directement considérés comme des  nuisibles par presque toutes les mairies et traités comme tels, c'est-à-dire en faisant appel à des entreprises de dératisation qui se chargent de leur  capture et extermination sans aucun contrôle d’un traitement humanitaire mais n’hésitant pas à criminaliser et à couvrir d’amendes les personnes compatissantes qui leur donnent à manger.

Et bien que des personnes aient laissé leur peau en stérilisant et controlant une colonie bien déterminée de chats, il suffit d’une seule réclamation d’un quelconque voisin intransigeant pour que les services de la mairie envoient rapidement leurs sbires avec des cages pour amener à l’abattoir ces pauvres chats devant l’impuissance et le désespoir des personnes qui s’en occupaient.

QUE POUVONS-NOUS FAIRE POUR QUE CELA CHANGE ?
OBTENIR ENFIN UNE LOI NATIONALE DE PROTECTION ANIMALE

qui affronte courageusement ces problèmes et d’autres qui peuvent survenir.

Mais attention !nous ne voulons pas d’un texte légal qui soit une simple « harmonisation «  des 17 lois de protection animale autonomes parce que cette harmonisation se ferait  par le bas, de telle sorte que la pire d’entre elles serait prédominante sans avoir à changer une virgule.


Ce dont  nous avons besoin, c’est d’une harmonisation par le haut, prenant le meilleur des fourrières  les plus avancées (comme le O sacrifice de la loi catalane ou l’interdiction de la commercialisation et de la détention d’animaux exotiques de la loi andalouse) et de plus, nous y ajouterions des points d’une importance capitale comme l’interdiction d’utiliser des animaux dans les cirques ou la régularisation légale des colonies de chats et de pigeons qui sont sous contrôle de leur reproduction.

 
Nous devons faire aussi pression jusqu’à épuisement pour obtenir un changement du code pénal, en introduisant un article spécial intitulé « mauvais traitements aux animaux » et avec des peines de un à trois ans  de prison.
 
Et de plus, il y a  la proposition de loi N° sur le Projet Grand Singe (PGS), présenté par IU-ICV et appuyé par le Parti Socialiste du Congrès à la Commission « Environnement » ; cette proposition a été approuvée avec des dates butoirs d’exécution qui n’ont pas été respectées.
 
Et à ce sujet aussi nous devons donc leur mettre la pression pour qu’ils se bougent les fesses et accomplissent leurs promesses.
 
En ce qui concerne la loi, NOUS EXIGERONS UNE LOI NATIONALE DE PROTECTION ANIMALE qui remplisse 4 points capitaux :
 
1 – Interdiction du sacrifice des animaux dans les fourrières comme forme de contrôle de la  natalité ;
 
Le contrôle des populations de chiens et de chats devra se faire à travers des campagnes de promotion de stérilisation des animaux ; ces campagnes devront être financées en  partie ou en totalité par les administrations incriminées.
 
La gestion des fourrières sera assurée uniquement par  des organismes de protection animale et les subventions devront être en rapport avec le travail à effectuer qui n’a rien à avoir avec ce qui se pratique à  l’heure actuelle, à savoir « ramasser et tuer ».
Les ONG de protection animale devront pouvoir profiter du 0,7 % des ressources prévues au chapitre « autres financements sociaux »
 
2 – Reconnaissance explicite des chats de la rue et des pigeons urbains comme animaux domestiques protégés par la loi. Ce qui supposera le droit à la vie de ces animaux faisant partie de colonies dûment contrôles d’un point de vue des naissances et sur le  plan sanitaire. Ceci se fera à travers des accords de collaboration entre les administrations locales  et les associations de protection qui feront le lien entre les mairies et les personnes en charge de ces colonies.
 
Interdiction de la capture et de l’extermination systématique de ces animaux de la  part d’entreprises sous contrat ou par le personnel des mairies.
 
3 – Interdiction de l’usage des animaux dans les cirques et les ferias (carroussels de poneys).
 
4 – Interdiction de la vente  et de la détention d’animaux exotiques en tant qu’animal de compagnie, tout en autorisant les propriétaires actuels à garder les animaux en leur possession jusqu’à leur décés.
 

Afin  de travailler et faire  pression pour obtenir ce que nous voulons, nous avons créé la  PLATEFORME « ENFIN DES LOIS ANIMALES » qui prétend ouvrir le dialogue avec le gouvernement pour faire des propositions pertinentes et assurer le suivi  du projet, tout en faisant pression quand il le faut et en offrant notre collaboration et nos remerciements quand cela le mérite.
 
La plateforme est constituée du PACMA, DES VERTS, de la Fondation Altarriba CORA, du Groupe Animaliste de Madrid et le Projet Grand Singe qui, abandonnant toute querelle ou antagonisme dans ce projet fonctionnera uniquement en tant que PLATEFORME « ENFIN DES LOIS ANIMALES » et s’engage de manière ferme et honnête  à faire le maximum pour atteindre en partie ou en totalité les objectifs fixés.
 
Pour cela, nous demandons à toutes les associations et refuges qui sont d’accord avec nos propositions :
 
D’ADHERER A LA PLATEFORME pour que nous soyons leur voix en plus d’être celle des animaux, pour que, enfin, nous obtenions satisfaction.
 
Toutes les organisations adhérentes seront ponctuellement informées de tous les projets et de tout ce que nous avons réussi à obtenir et ainsi notre réussite sera la réussite de tous.
 
Et comme on le dit maintenant
 
YES WE CAN
 
TEXTE EN ESPAGNOL:
 
¡¡Por fin ha llegado el momento¡¡

El partido en el Gobierno es consciente de la dura situación que se la ha planteado si quiere revalidar su mandato y sabe que tiene que empezar a dar respuestas a los Colectivos de Ciudadanos que han sido, por una razón o por otra, ninguneados desde el comienzo de la actual legislatura. Tienen claro que si quieren  adjudicarse los seiscientos mil votos necesarios para hablar de tú a tú al Partido Popular han de empezar a cumplir promesas electorales y seguir avanzando en lo que sus posibles votantes les demanden.

Leire Pajín dijo hace unos días en una entrevista en la Televisión Pública, que en su partido se había tomado nota de los resultados en las pasadas elecciones europeas y que van a tener en cuenta lo que el electorado les ha querido decir al no asistir a las urnas o cambiando el signo de sus votos; mencionó a varios grupos sociales con los que según avanzaba, se entablarían conversaciones para la confección de la agenda de trabajo del partido de cara a los próximos comicios (parece ser que  afortunadamente  se incluyen a los ciudadanos preocupados por el medio ambiente y los animales).

Prueba de ello es que se ha conseguido mantener una primera reunión entre la  Plataforma “Leyes Animales Ya” y los responsables de Medio Ambiente de la Comisión Ejecutiva Federal del PSOE en la sede de Ferraz en Madrid. Han asistido, aparte de 5 personas de la Plataforma, Hugo Morán, que ocupa la Secretaría de Medio Ambiente de la Comisión Ejecutiva Federal y Álvaro Abril, coordinador de Medio Ambiente.

Se presenta ante nosotros tras mucho tiempo de espera, una ilusionante posibilidad de conseguir sustanciales avances tanto en lo legal como en los penal y de ninguna de las maneras nos podemos permitir fracasar en el intento porque como todos sabemos, van muchas vidas en ello y una ingente cantidad de sufrimiento inocente.

Necesitamos cosechar frutos para continuar  “La Lucha” y para ello es necesario vaciar el petate de pasados inútiles y de aspiraciones maximalistas que pongan en peligro logros aparentemente insuficientes pero necesarios para forjar los cimientos del Animalismo actual en este país; es imprescindible alcanzar acuerdos de mínimos y marcar objetivos claros y accesibles para situar el foco sobre ellos.

 Al margen de las legítimas reivindicaciones que desde la diversidad ideológica que conforma el Movimiento de Liberación Animal, cada grupo o asociación persiga (antitaurinos,  mascotistas, utilitaristas, veganos, bienestaristas…) debemos realizar un esfuerzo por sumarnos en las cuestiones comunes. ¿No saltaríamos de felicidad cualquiera de nosotros si se prohibiesen las eutanasias indiscriminadas en los centros de recogida de animales abandonados? ¿No nos felicitaríamos los unos a los otros si consiguiésemos que el psicópata de turno sea encarcelado por lanzar a una cabra o a una pava desde lo alto de un campanario? ¿No nos congratularíamos todos si los pobres animales de granja, los comamos o no, viesen eliminadas sus miserables  existencias hasta el momento del “sacrificio”?... Los estadios intermedios son necesarios para consecuciones posteriores; movernos entre el “todo” o la “nada” no nos reportará cambios importantes.

Es necesario entender que todos cabemos y todos sumamos en este fatigoso camino que hemos elegido seguir. Todos los esfuerzos realizados son cruciales e indispensables y así debemos percibirlo: necesitamos de las acciones contundentes que algunas organizaciones realizan con el fin de captar el interés de los medios porque eso hará llegar el mensaje al grueso de la sociedad y provocarán el debate social necesario; precisamos de los infatigables trabajadores que a pesar del sufrimiento y el agotamiento emocional que la atención a los animales abandonados en las calles o protectoras conlleva, mitigan el sufrimiento de las victimas hasta que se consigan leyes efectivas; son vitales los “políticos” que alejados de los focos desarrollan la paciente tarea de negociar en la sombra  y que tienen la templanza necesaria para sentarse frente a un maltratador sin perder las formas; de los que difunden para mantener el tono imprescindible para seguir en la lucha; de los que ayudan económicamente o por otras vías… Todos tenemos más cosas en común de lo que a veces queremos constatar.

Ha llegado el momento de aglutinar fuerzas y dar el gran empujón político apoyando a la plataforma “Leyes Animales Ya” frente a los políticos que tanto necesitan y desean nuestro mayor bien a su forma de ver, nuestra papeleta de voto.

Ha llegado el momento de que los grupos constituidos, sean del ideario que sean, se unan en este gran proyecto que aunque a buen seguro no saldará todas las demandas, si que propiciará un escenario sobre el que todos podremos trabajar más y mejor de cómo lo hacemos hoy en día.
Un ilusionado.
 
 A continuación incluyo un correo recibido hace unos días:

Querid@s compañer@s de fatigas animalistas, todos los días se difunden docenas de mensajes de gente animalista verdaderamente angustiada y desesperada pidiendo ayuda urgente para alguno de los miles de casos terribles con el que han tenido la "desgracia" de encontrarse.
Además, con las leyes actuales, casi todas las perreras matan a los animales si nadie se los lleva antes de que cumplan los plazos. Y, por muchos esfuerzos que se hagan NO PODEMOS SALVARLOS A TODOS, ni siquiera a una pequeña parte. 
 
Y toda la gente involucrada, vive una vida llena de sufrimientos y amarguras, llegando incluso a tener problemas laborales, o familiares.  NO PODEMOS SEGUIR ASÍ, porque es como intentar vaciar el mar a cubos y además reventaremos en el intento.    

Y, mientras tanto, los "malos" de rositas, y los ayuntamientos y gobiernos autonómicos pasando del asunto, pisoteando nuestra sensibilidad, y tratando a los animales como basura,  a la que simplemente hay que recoger  y deshacerse de ella en los vertederos o crematorios, sólo con el "detalle" adicional de que esa "basura" son seres vivos a los que hay previamente que matar de la forma más cómoda y barata posible.     

Y, además tenemos el grandísimo problema de la fauna urbana, gatos y palomas, que son considerados directamente como plagas por casi todos los ayuntamientos y tratados como tales, encargando a empresas desratizadoras que se encargen de su captura y exterminio sin ningún tipo de control de trato humanitario y criminalizando y cosiendo a multas a las personas compasivas que les dan de comer.

Y, por mucho que haya personas que se hayan dejado la piel  esterlilizando y controlando una determinada colonia de gatos, basta una sóla llamada de cualquier vecino  intransigente para que el ayuntamiento mande diligentemente a los laceros con sus jaulas para llevar al "matadero" a esos pobres gatos ante la impotencia y desesperación de sus cuidador@s.

Y, ¿QUE PODEMOS HACER PARA QUE ESTO CAMBIE?
CONSEGUIR YA UNA LEY NACIONAL DE PROTECCIÓN ANIMAL
que aborde de forma valiente estos y otros problemas.   

Pero, ¡cuidado! no nos vale un texto legal que sea una simple "harmonización" de las 17 leyes de protección animal autonómicas, porque esta harmonización sería por abajo, de forma que la peor de ellas encajara sin tener que cambiar una coma.

Lo que necesitamos es una harmonización por arriba, cogiendo las cosas mejores de las más avanzadas (como el sacrificio cero en las perreras de la ley catalana, o la prohibición de la comercialización y tenencia de mascotas exóticas de la ley andaluza) y que además añadiera cosas que son un clamor como la prohibición del uso de animales en los circos, o la regulación legal de las colonias controladas de gatos y palomas.   

También tenemos que presionar hasta la extenuación para CONSEGUIR QUE SE CAMBIE EL CÓDIGO PENAL, introduciendo un título especial de malos tratos animales  y con penas de uno a tres años.   
Y además está  La Proposición No de Ley sobre el Proyecto Gran Simio (PGS), presentada por IU-ICV y apoyada por el Partido Socialista en el Congreso en la Comisión de Medio Ambiente, que fue aprobada, poniendo unos plazos de ejecución que se han incumplido.

Y ahí también tenemos que presionar para que se pongan las pilas y hagan lo prometido.
  
En cuanto a la ley,  EXIGIREMOS UNA LEY NACIONAL DE PROTECCIÓN ANIMAL que cumpla  estos 4 punto básicos:

1.- Prohibición del sacrificio de animales en las perreras como forma de control poblacional.
El control de las poblaciones de perros y gatos habrá de hacerse a traves de campañas de promoción de las esterilizaciones de los animales que deberán ser financiadas en todo o en parte por las correspondientes administraciones.
La gestión de las perreras sólo la podrán hacer entidades de protección animal y las dotaciones económicas deberán de ser las adecuadas a la labor que habrán de hacer que no es la gestión actual de "recoger y matar".
Las ONGs de protección animal deberán poder beneficiarse también del reparto del 0,7% de la casilla de la renta "otros fines sociales"

2.- Reconocimiento explícito de los gatos de la calle y las palomas urbanas como animales domésticos protegidos por la ley. Esto deberá suponer el derecho a la vida de estos animales en colonias debidamente controladas poblacional y sanitariamente, y esto a través de acuerdos de colaboración de las administraciones locales con las protectoras, que harán de enlace entre los ayuntamientos y las personas cuidadoras de las colonias.
Prohibición de las capturas y exterminio sistemático de estos animales por parte de empresas contratadas o por personal de los propios ayuntamientos.

3.- Prohibición del uso de animales en los circos y en las ferias (carruseles de poneys)   

4.- Prohibición de la venta y tenencia de animales exóticos como mascotas, permitiendo que las mascotas exóticas que existen actualmente puedan ser conservadas  por sus propietarios hasta la muerte de las mismas

Y para trabajar y presionar para conseguirlo, se ha formado la PLATAFORMA "LEYES ANIMALES YA" que pretende abrir una vía de diálogo con el gobierno para hacer las pertinentes propuestas y el continuo seguimiento de la evolución del asunto, presionando cuando haya que presionar y ofreciendo colaboración y agradecimiento cuando sea conveniente.  
 
La plataforma está constituída por el PACMA, LOS VERDES, la Fundación Altarriba, CORA, el Grupo Animalista de Madrid y el Proyecto Gran Simio que, dejando atrás cualquier tipo de protagonismo, en este asunto, funcionará sólo como PLATAFORMA "LEYES ANIMALES YA" y adquiere el honesto y firme compromiso de conseguir en todo  o en parte los objetivos marcados.   
        
Para eso, pedimos a todas las asociaciones y refugios que estén de acuerdo con estas propuestas,
QUE SE ADHIERAN A LA PLATAFORMA (*) y que podamos ser su voz, además de la voz de los animales, para que, entre tod@s, lo consigamos.

Todas las organizaciones adheridas serán puntualmente informadas de todo lo que se vaya haciendo y los logros, si los hay, serán plenamente suyos.

Y, como tanto se dice ahora:     
YES, WE CAN !
Partager cet article
Repost0

commentaires

J
<br /> magnifique une telle détermination! je suppose que nous ne pouvons pas les aider ? si on peut d'une manière ou d'une autre dis-le nous HL. MERCI à ces gens qui méritent la légion d'honneur eux!<br /> <br /> <br />
Répondre

Présentation

  • : Le blog de LN Verdier
  • : agir-pour-les-galgos c'est aussi un site http://www.galgos.fr consacré à la défense des lévriers d'Espagne et à la dénonce de la maltraitance qu'ils subissent de la part des galgueros. BASTA! >>> suppression de la chasse avec lévriers en Espagne et statut d'animal de compagnie aux Galgos !!! Contact : galgos-ethique-europe@orange.fr
  • Contact

Profil

  • LN Verdier

MESSAGE A TOUS LES LECTEURS

Attention, tous les articles de ce blog sont la propriété de Agir pour les galgos et de l'Association galgos-ethique-europe.

Les articles et informations peuvent être diffusés accompagnés du lien d'origine mais en aucun cas ils ne doivent être utilisés pour servir de support à une démarche ou une action si cette dernière n'est pas issue de l'initiative de l'auteur lui-même ou de l'Association à laquelle il appartient








Rechercher

Archives

le galgo, symbole d'impunité


Cliquer sur l'image pour avoir accés au contenu de la Charte

ADOPTER-UN-GALGO2.jpgCliquer sur la bannière ci-dessus

pour voir les Galgos à l'adoption.

 

 



adopter-un-podenco-galgos-ethique-europeCliquer sur la bannière ci-dessus

pour voir les podencos à l'adoption.



Dites NON à l'Espagne cruelle

COMMENT ADHERER AU BOYCOT DE L'ESPAGNE



Blog déconseillé aux personnes sensibles et aux enfants

 

 

 

 

REPRODUCTION DE NOS ARTICLES
Bienvenue si vous souhaitez diffuser
un article, photo ou gif animé.  Nous
vous prions simplement d'indiquer le lien
complet de l'élément que vous reproduisez.
Si vous êtes l'auteur d'une photo et que
vous ne voyez pas votre lien indiqué ou que
vous souhaitez la voir retirer, merci de nous
contacter : webmestre@galgos.fr
Merci d'avance pour votre compréhension.

 



 

C'est toi galguero qui l'a tuéee .... comme autant d'autres 50.000 Gisela chaque année


 

 

 

 

546220_10151077798968481_821609717_a.jpg

 




ADHERER A AMNISTIA ANIMAL JAEN

 

 

logogalgoblog.jpg




peut aider un autre Galgo/Podenco à sortir d'Espagne


 

Manteaux---01.06.2010-012.jpg

Patrons pour fabriquer des manteaux pour les Galgos

 

 





 

  avatar-blog-1231354449-tmpphpwBHUPr.jpeg

Pression Ethique Anti Corrida Europe

Visiteurs uniques du blog

Locations of visitors to this page