22 janvier 2008
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Et si l'on faisait connaissance avec Maria Jose de Kimba celle qui a récupéré pratiquement la majorité des chiens de Puerto Real lors de la cécision de justice de fermer cette perrera
C'est Sandra de Bass Galgo qui nous presente Maria-Jose
Ce que nous nous dit Maria Jose dans l'intimité d'une interview donnée à Sandra ...
C'est ainsi qu'elle nous dit être la seconde d'une famille de trois filles. Ses parents les ont éduquées dans le respect de la Nature et des animaux et surtout ne faire aucun mal à aucun être vivant mais d'ajouter qu'ils n'avaient pas d'animaux dans la maison et que donc on lui a appris le respect qui se doit aux animaux mais pas à les aimer
Sa famille élargie était pratiquement toute taurine mais en grandissant elle a pris conscience que ce que l'on appelait la Fiesta Nacional n'était rien d'autre que la Honte Nationale pour devenir à 100% antitaurine
Les années ont passé jusqu'à lui faire connaître celui qui aujourd'hui est son mari à savoir celui avec qui elle partage l'amour des animaux
Un jour qu'elle cherchait sur le net le moyen de pouvoir aider tous ces animaux d'Espagne tant maltraités elle trouva l'adresse d'une protectora de Cadiz où elle se rendit. Ca a été un choc pour elle de voir tous ces animaux tourner autour d'elle, lui réclamant des caresses. Quand il s'en sont retournés, bien difficile de dire quelle était leur impression >>> désillusionnés, démoralisés, peinés, contents ? elle ne saurait répondre et ce même après 8 années passées mais ce qu'elle sait c'est que quelque chose s'est passé au niveau du coeur et sans aucune concertation, son mari et elle ont compris qu'ils devaient faire quelque chose pour aider toutes ces pauvres créatures. Ils ont commencé par aider le refuge jusqu'à ce que vienne ce grand jour où ils ont récupéré un galgo de 6 mois qui avait failli se faire écraser par une voiture et qu'ils appelèrent Mohicano. C'est là qu'ils s'engagèrent à tout faire pour que les galgos de ce pays qu'ils rencontreraient et récupèreraient aient la possibilité de vivre une autre vie ailleurs loin de la maltraitance qui était leur lot en Espagne.
Tout ceci date de quelques années et grâce aux associations étrangères elle a pu sauver un bon nombre de galgos et même si le travail est ingrat au vu de tout ce qu'ils peuvent voir d'horreur subies par ces chiens il n'en reste pas moins que la mission est gratifiante
Elle conclura en disant qu'elle profite de ce que Sandra lui donne la parole pour remercier toutes ces associations qui se préoccupent de ces galgos et elle remercie également son mari car sans lui elle aurait plus d'une fois abandonné
Published by LN Verdier
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GALGOS-PODENCOS